Perdu sur une ile...!

Après plusieurs mois de navigation, a parcourir Grand Line avec un bateau sens canon mais rempli de Berry. Vector vit enfin une ile ou il pourra enfin ‘’Emprunter’’ de la nourriture pour repartir verre l’inconnu ou sur une ile qu’il avait déjà visité, sens Log c’est dur de naviguer ici ! Il débarqua au port barra sa chambre dans le bateau avec un cadenas très suspect ou il avait mit tout son argent dans un coffre blinder avec plein de piège partout. Quoi ? On n’est jamais trop prudent ! L’ile était assez grand mais peux explorer, ou peut peupler, ou encor peux civiliser, …

"Ou hanter, ou peut-être déserte ! Bah ! J’en sais rien… Bin… y’a un port alors elle doit être habité et civiliser… on verra bien quand on verra bien..."

Il parcourra quelque mètre puis attendis un bruit, il tourna la tête à la vitesse d’un paresseux mais ne vit rien. Il s’assit sur le sol puis prit un fruit qui était accroché à une branche. Il ne réussi même pas à rendre le fruit a sa bouche que quelque chose passa rapidement puis prit le fruit de ces main en l’égratignant un peut.

"Cochonnerie !! Ou tu te cache que je te pette les dents !! "

Il se mit à courir verre la direction que l’ombre avait prit. A travers la foret qu’il était en train de traverser il y avait plein d’animaux dangereux qui sa mettait dans son passage. Après une petite réflexion, Vector se dit…

*Bah ! Tempi pour le fruit ! Se soir viande de serpent étrange et de lion bleu ?*

"T’es quoi toi ?Un lion bleu maintenant? En voie d'instinction je présume??"

Dit-il tout en pointant le lion bleu. Mais bien sur les animaux ne parle pas…enfin normalement, on est sur Grand Line alors rien est impossible… Le lion le regarda dans les yeux et se lécha les lèvres puis montra ses crocs énorme.

*Je me fais croquer et s’en est finit de ma vie, et de mes rêves.*

Il prit une bonne bouffer d’aire frai tout en attendant que le lion et le serpent qui se trouvait sur la branche tout près de lui fasse les premier pas. Soudainement le serpent s’élança vers Vector, la bouche grande ouverte.

"Soru !"

Vector se tassa du chemin que le serpent mauve aux rayures violettes ? Mais c’est quoi ces couleur sur les animaux ?! Enfin, bref, Le serpent mordit dans une roche et avec étonnement pu facilement s’enlever, a croire que ces dents était faite en fer recouverte d’acide !

"He…C’est quoi se liquide vert poison ? Un autre qui me tue si il me mord ? Quelle chance que j’ai, tomber sur une ile pareille !"

Puis du bruit de pas se fit entendre derrière lui, quelqu’un approchait tranquillement de lui et des étranges bêtes.

"Pas un autre machin au dent acérer !"

Mais quel patelin… J’étais vraiment tombé sur un de ses ports pourri ou le désert était grand, et les habitant pas très nombreux… ce n’était que plus loin que se trouvait les habitants en grande surface, qui étaient tous entrain de faire du lèche vitrine et ou les bourges abritaient les quartiers les plus chic, ou plutôt les mieux conserver a se jour… Pour ma part, j’avais vagabondé jusqu'à cette drôle d’île a bord d’un grand bateau marchand ou je m’étais rassasié correctement. Il ne manquait vraiment de rien sur se bateau riche en nourriture et en diverses boisons. J’avais vraiment u le choix sur ce coup là, ca changeais de certain bateau avec de la nourriture au gout amer. Ce pendant, je me trouvais sur le port les mains dans les poches et j’observais la mer en face de moi. Les bateaux arrivaient et partaient a longueur de journée, ils avaient vraiment des tripes les gens qui ne faisaient que ca toute leurs journée, c’est que ca doit être vachement fatiguant et chiant de ne faire que ca.

Enfaite je n’en avais que faire de ses gens autour de moi, mais je m’ennuyais tellement de ma vie comme je le radote a chaque fois, que parler de ce qui m’entoure, était la seule chose qui me venais sur le moment a mes pensées. J’étais un peu sorti de ma connerie, de tout ce passer qui me bouffais chaque jour un peu plus. Il fallait que je trouve des occupations pour me sortir toutes ses choses de ma tête, ca allait finir par me tuer. Même si j’étais consciente, qu’un moche jour je saurais enfin tout sur mon passé. Pourquoi je dis moche au lieu de beau ? Parce que, a ce moment je me dirais que je me serais fais chier tout un bout de vie pour recoller les morceaux, sans avoir pu vivre la vie que je voulais a cause de mon dédoublement. Je ne peu pas avoir de relation intime ou trop proche avec une personne que je me fais continuellement sermonné par mon autre personnalité, comme quoi ce serait mauvais pour retracer le parcoure de mon passé que je recherche.

Aujourd’hui, parmi les nombreux navires qui arrivaient, un p’tit rafiot attira mon intention. C’est alors que le capitaine de se petit navire en sorti, et ce qui m’amusais le plus c’est qu’il ressemblait a un gamin de treize ans, enfin reste à voir comment il est mentalement. Il m’intriguait à cause de ca, et je n’avais rien de mieux à faire que de venir embêter mon monde. Je me relevais alors lentement du bord de ce grand port et approchais avec rapidité pour suivre cet homme. Il m’avait repéré mais tourna la tête trop lentement par apport à ma vitesse. Il avait du se pauser de sacré question. Il se pausa alors pour prendre un fruit, et toute dent dehors il allait croquer dedans. Je m’interposai a se moment et lui vola son fruit a une vitesse impressionnante, me recachant dans l’ombre en me bidonnent de rire. C’est alors qu’il dit qu’il me menaçait de me pété les dents, là ca ma fais sacrément rire je dois l’avouer.

Quelques temps après, il se mit alors a me suivre dans mon ombre. Courant à toute vitesse vers la foret, j’effectuai une feinte. Les animaux de la foret, je les connaissaient comme ma poche et c’était plutôt eux qui avait peur de moi que l’inverse, en voyant mon fou instinct de sauvage. Un serpent dans un arbre et un lion d’une couleur bleue turquoise s’interposèrent pendant que moi j’étais allongé sur une branche, très haut dans un arbre à regarder la scène. Il attendait visiblement qu’un des deux animaux attaques, ses animaux sortaient tout droit du plus profond de la foret et étaient affamé, voila la raison de leur attaque. Quand le serpent ouvrit la gueule en se dirigeant vers l’homme, je ne sais par qu’elle moyen mais le serpent se retrouva a faire une morsure a une pierre. Ce garçon était donc bien étrange… le serpent se décolla sans mal du rocher pour refaire face a sa proie. Le lion allait à son tour passé à l’attaque mais plus sauvagement, ses yeux démontraient qu’il allait bondir sur l’homme. A se moment, je me laissais tombé derrière l’homme et je marchais tranquillement a ses côtés. Les deux animaux se regardèrent alors et, en un geste j’approchais d’eux en montrant mes dents d’un air féroce et en sortant mes griffes. Ce qui fi fuir littéralement les deux animaux apeuré. Je me mis alors à sourire, les mains sur les hanches satisfaite de mon acte tout en laissant rentrer mes griffes dans ma peau. Je me tournais ensuite vers l’homme en question.

-Bien le bonsoir mon garçon. Sache tout d’abord que c’est moi qui t’es traquer, et je dois avouer que c’étais bien marrent. Tu est sur une île bien dangereuse, la foret abrite toute sorte d’animaux féroce et au-delà de c’te foret ce trouve une grande ville, mais pour l’atteindre mieux vos prendre le passage de pierres, tu risquera rien en prenant ce passage là. Ensuite, je m’appelle Staire et quoi que tu dises je vais te mener à cette ville parce que je pense que tu dois être affamé, j’ai vue que t’avais un navire sur le port, et c’est donc de là que j’ai commencé à te suivre mon beau.

Je lui souris de mon air insolent et m’approcha pour lui faire une lèche sur la joue, tout en gardant mon sourire. Je me retournais alors pour le mener sur une route a travers cette ville, la route était en pierre comme son nom, et de nombreuses charrette marchande passaient sur se chemin. Après une trentaine de minutes de marche, nous arrivâmes aux abords de la grande ville riche en babioles et boutiques de tout genre. Je lui laissais le temps d’admiré la beauté de cette ville autour de lui, et l’énorme foule qui se dépêchaient de faire les magasins au alentour.

-Voila mon grand, ici t’es sur une des plus grande surface et ta de quoi faire…

Vector avait été figé sur place depuis le début, même si ses pieds continuaient de suivre la…humm… femme sauvage. Au début, il voulait lui dire de ne pas effrayer sa nourriture mais quand elle lui lécha la joues, il avait eu comme un courcircuitement dans son cerveau et pus rien ne fonctionnait comme il voulait. Est-ce de la magie ? Non, bien sur que non, mais cela l’avait presque traumatisé si on peut dire. Il la suivi mais dans sa tête se passait tout autre chose.

*Mais merde je veux pas la suivre pourquoi mon corps m’obéi pus ! Merde ! Je veux manger oui, mais du lion bleu et du serpent couleur gay pas de la bouf de ville! Je veux faire changement ! Je me fou qu’il est une ville sur cette ile a la …. Une minute, bin oui je veux voir la ville !! Bon ok je continu de la suivre pi a la ville je repart dans la foret retrouver ces deux animaux.*

Il continua de la suivre mais maintenent avec l’approbation de son esprit qui ne contrôlait absolument plus rien de son corps. Plein de bête suivait Vector en cachette, pour que après que Staire l’aie laissé, ils fonceraient tous sur lui. Arriver a la ville les animaux s’en alaire avec un aire triste et Vector reprit enfin son corps et pu enfin lui dire le fond de sa penser.

*Bah ! Enfin je retrouve le contrôle de mon corps ! Une chance que mon corps a pas fait trop de conneri, non plus de cochonnerie, elle m’aurait sen doute découpé en rondelle avec ses ongles rétractables…*

"Bah toi ! Sitare(C’est voulut le nom déformé.) si je me trompe pas pi si je me trompe j’en ai rien a foutre ! Qu’est-ce qui t’as prit de me suivre tout le long en me voler mon fruit que je voulais manger !, de faire fuir ma nourriture ! Et de me lèch… ? "

Il dit toute sa phrase correctement jusqu'à se qu’il se rappelle qu’elle lui avait léché une des joues. Pas qu’il n’appréciait pas de se faire léché par une belle femme de surement un peut prêt de son âge mais c’est qu’il a d’autre étape avant ça ! Non ? Puis après s’avoir secoué la tête pour ne plus y repenser à nouveau il la regarda dans les yeux avec ses lunette de soleil rouge. On pouvait voir de l’angoisse et de la colère car après tout, elle lui avait enlevé tout la nourriture qu’il trouvait, si ça ce trouve elle le suivra dans un restaurant pour lui voler la bouf qu’on lui servira ! Puis pourquoi elle l’avait aidé à atteindre la ville ? Elle n’y gagnait pourtant rien. Tout à coup, le ventre de Vector se mit à gargouiller, plutôt embarrassant mais il ne s’en occupa pas jusqu'à se qu’il gargouillonne encor une fois.

"J’ai faiiiimm…"

Dit-il avec un aire désespérer et malheureux.Il se mit à marcher trèèèèès lentement en direction du centre de la ville pour aller ‘’Emprunté’’ un peut de nourriture.

L’angoisse du jeune homme je l’avais senti, d’un côté c’est vrai que perturber les esprits de mon entourage m’amuse énormément, mais encor plus les faire languir jusqu’à ce qu’ils soient gêné. En gros, la provocation est tout à fait mon genre et je dois dire que la réaction de certaines personnes est vraiment hilarante. J’avais des jeux passionnants moi, c’est bien vrai. Mais ce qui m’amusais le plus, c’est de voir des gens rougir, alors que moi je n’ai jamais pu démontrer leur gêne de la même façon qu’eux, et de toute façon on arrive a me gêné que très difficilement. Enfaite je ne pouvais pas m’empêcher de faire des gestes provoquant envers les autres, pour la simple et même raison que mon esprit est constitué comme ca, bien que très flou et perturber. Je ne pourrais pas expliquer d’avantage ce phénomène cher moi, car de toute façon ca se vois très bien que je suis une femme…dangereuse ?

Je me mis à lui sourire, à ma façon, tout en fixant ses yeux a travers ses drôles de lunettes rouges de soleil qu’il gardait sur son nez. Je comprenais bien qu’il soie à la fois gêné de mon acte et en colère de l’avoir fait chier tout le long de la route, mais ca m’amusais, comme toutes mes conneries qui me font rire et qui savent m’occuper a longueur de journée. Le plus tripant, c’était qu’il avait déformé mon nom. « Sitare » il est vraiment très fort cet homme, il n’a pas compris que mon nom est Staire… sa finira par lui rentrer dans le crâne, car je ne suis pas encor prête à le lâcher de si tôt, maintenant que j’ai trouvé une sourie pour m’occuper. Ca allait être une quête passionnante de le persécuté entre parenthèse, à longueur de journée. Je comptais bien a ne pas le laisser filé comme ca, et je comptais également le coller pour m’occuper et me défoulé. Je me doutais qu’il ne serait surement pas d’accord, mais je trouverais bien un moyen de le convaincre. D’un côté, peut être quand voyageant d’avantage je découvrirais plus de choses, sur le monde ainsi que sur ma propre personne.

Après ma rêvasserie, il grommela que son ventre criait famine, et il se mit a marché lentement vers le centre ville pour se trouver de quoi lui remplir la panse. Je me mis alors à le suivre et le prendre par le bras pour le trainer dans une sorte de restaurant bistro. Tout en sortant mes griffes pour effrayer la patrie et pour ne pas être déranger pas deux trois idiots qui voudraient me toucher, je le fis assoir sur un tabouret et m’installa sur ses genoux sans sa permission. J’étais vraiment une horreur, moi, toujours à provoquer. Le barman me regarda d’un air assez apeuré, des goutes coulant a toutes vitesses de son front. D’un signe de main je lui fis comprendre ce que je voulais et il cria au cuisinier la commande en lui disant plus discrètement de se dépêcher. Et comme si je n’avais pas entendu… il apporta deux verres, es chopes de bières bien remplîtes. Le cuisinier arriva maladroitement pour apporter une tarte a un de ses clients. Tout en buvant d’un trait mon verre, je me tournais pour être face à l’homme toujours installé sur ses genoux.

-Bon je t’explique, mon nom c’est S-T-A-I-R-E, Ok ? Staire, Sttaiiiireee. Voila ta de quoi faire avec ca, et si ta toujours pas compris c’est que t’es boucher. Deuxièmement j’aimerais bien aussi avoir ton prénom.

Je lui souris de mon air provocateur, me retournant pour pauser mon verre. Je frappai alors dans la tarte du cuisinier qui passait et il reçut donc son plat en pleine figure. Tout en m’éclatant de rire et ne laissant pas le dernier mot a l’homme aux lunettes, je descendais de ses genoux et le tirais pour sortir dehors aux pas de course. Tout en me bidonnent sur le chemin, je m’arrêtais aux limites de la foret tout en fixant l’inconnu a mes côtés, d’un sourire perspicace. Nous étions loin de la foret et à présent, j’entrais dans la foret en le trainant avec moi aux fin fond de l’énorme tas de feuillage. Des bruits bizarres nous entouraient, provenant de chaque recoin et, ca avait l’air très mouvementé autour de nous. Je sortis alors mes griffes, et a se moment un fauve se jeta sur moi. Tout en le mordant au museau et lui plantant mes griffes dans sa gorge sur le coup de l’assaut, je le jetais à coté de moi et du revers de ma manche essuyais le sang sur le recoin de mes lèvres. Un autre sourire se forma sur ma fine bouche. Ses animaux n’étaient rien par apport a ce que l’on pouvait croiser autre part, il y avait certes beaucoup plus dangereux comme bêtes mais nous devions quand même nous méfier.

-Alors ? Je rêve ou c’était toi qui voulais te faire du serpent et du fauve griller ? En pleine nuit t’es servis, je te conseille de ne pas trop forcé non plus, mais ne sous estime pas ce que l’on va rencontrer dans les parages.

J’émis alors un petit rire, tout en passant lentement ma langue sur mes lèvres de couleurs framboisés. Mes pupilles se mirent à rétrécir comme quand un chat traque une proie. Je me mis à quatre pattes, le dos dressé et près a attaquer. Je regardais devant moi, les feuillages bougeaient. Je sautais alors dans un élan et plantais mes crocs dans le crâne de mon opposant qui se trouvait dans les buissons qui avait été devant moi, une proie. C’était un autre fauve, aussi bleue que pastel, ressemblant à celui de tout à l’heure. Le fauve était paralysé après un tel choque au crâne, mais ne se dégonfla pas pour autant. Il planta ses griffes dans mon bras gauche, ce qui me permis de pivoter avec mon bras droit et de l’éventré à plusieurs reprises. Le fauve tomba lourdement au sol, sans plus aucunes traces de vie. Nous nous étions lancé dans une bien grande chasse.

Mais ou diable cette femme traine Vector ? Malgré que normalement il s’aurait opposé en disant qu’il n’était pas un gosse et plein d’autre truc dépendent du lien avec la personne. Mais présentement sa faim prenait le dessus et le ramollissait, attention ne vous mettez pas en travers de son chemin pour manger pour autant car sa force double et même triple quelque fois quand on l’empêche de bouffer quoi que se sois. Arriver a la place que Staire l’amenait, elle l’assit puis s’assit sur les genoux de Vector, encor une fois il aurait protesté en disant qu’il n’est pas son père et qu’on n’est pas noël. C’est alors qu’un plat se mit dans sa vision, mais la femme assis sur lui bloquait son chemin il allait se mètre en colères quand le barman déposa une bière avec les yeux qui se demandait qui il était pour être l’ami de cette femme. Il alla pour la prendre mais juste quand il alla verser son contenu dans sa bouge elle débarqua de lui se qui le fit trembler un peut alors il dut ralentir pour ne rien échapper. Quand tout le liquide était redevenu calme qu’il allait en boire, Staire lui prit le bras et l’amena dehors. Voyant plein de nourriture à vendre dans le coin il ne se mettait pas en colère mais si elle ne le lâchait pas cela ne tarderait pas. Il vit qu’ils s’éloignaient de la bouf et devenait très lentement en colères, je veux dire très lentement !

"J’ai faiiiiiimmmmmmm."

Répétât-il il vit la foret et étrangement avait une bonne intuition au propos de ceci. Arriver dans le creux de la foret un fauve se jeta sur Staire et un combat plus ou moins amusant se déclencha. Il avait maintenant l’idée en tête de ne pas la faire chier, il ne voulait pas finir comme ce dernier. Il avait les yeux tout rond rempli au quart de peur mais au reste de faim. Il se lécha le coin de lèvre très rapidement et allait pour faire la cuisine quant un autre animal sauta sur Staire et un autre combat commença et finassa assez rapidement. Il avait les yeux rivé sur le bras de la dangereuse femme qui saignait et se mit a remonter un peut, cela devenait intéressent pour lui mais peut-être pas pour sa vie. Il se secoua la tête et se mit à regarder les deux animal mort par terre pour se changer les idées. Si il advenait qu’elle le surprenne à regarder ses seins elle voudrait surement le mettre en pièce, ou peut-être rirait-elle de la face qu’il ferrait, on ne sait trop, cette femme est étrange mais vaut mieux qu’il ne joue pas a pile ou face avec sa vie. Une chance pour lui, que a se moment la, elle ne le regardait pas. En regardant les animal mort encor un peut le seul mot qu’il dit était :

"Bouuuuuufffffff."

Il prit un lion pas le cou d’une main avec aucune difficulté puis prit l’autre pour les déposer au même endroit, près de roche qu’il pourrait utiliser pour le feu. Il prit alors deux bouts de bois assez solide pour pouvoir transpercer un des deux lions pour ensuite le faire tourner sur le feu. Il laissa tomber un bout de bois par terre et se mit le deuxième devant lui tout en respirant il donna des coups avec la main libre d’une telle rapidité qu’on ne pouvait presque pas voir se qu’il faisait. Après quelque seconde le bâton de bois était devenu un sort de piquet. Il prit le lion et le transperça du sens de la longueur avec. Il fit de même avec l’autre bâton et l’autre lion. Il manquait plus que le feu.

Il était resté là comme un idiot a me regarder bizarrement. Avait-il u un peu peur sur le coup ? C’est vrai que je débarque comme ca, je le fait chier et je me retrouve avec lui dans la foret a tuer des animaux qui me ressemble...Enfin en quelques sortes. Il devait être bien étonné de voir un phénomène pareille et je le comprenais, il fallait que je me mette un peu a la place des autres aussi, de temps en temps histoire d’essayer de comprendre ce qu’ils peuvent penser et ressentir. Et puis, je ressentais qu’il me fixait mais j’étais bien trop occupé, moi à fixer les alentours. Je me méfiais trop de ce qui pourrait abriter cette foret pour le fixer toutes les trois minutes. Nous piétinons sur de terres dangereuse et dans un coin sauvage ou personne n’ose entrer a cause des bêtes qui y font Reigner leur loi. Pour ma part, ca ne m’effrayait pas vu que j’avais plus d’un tour dans mon sac et que je savais me battre, et par conséquent me défendre. Je ne dis pas non plus que je suis superman, mais je ne crains rien, ce n’est pas de simple fauve qui me feront faillé.

Il empoigna alors les deux fauve, comme si il allait baver tellement son ventre résonnait de la faim qu’il avait. Sa devait bien gargouiller dans son estomac, et enfin il allait pouvoir se nourrir. Voyant qu’il fit plusieurs gestes rapides, je le suivi du regard et les deux lions se retrouvèrent empalé pour de bon, et prêt à se faire griller comme des saucisses au grill. Voyant qu’il attendait le feu, je m’assis en tailleur prêt des deux félins mort et commençais a frotter avec une grosse pierre contre le métal du sol a moitié recouvert par la foret. Le feu jailli et commença à prendre feux sur les deux bois ou les fauves allaient maintenant bruler comme de vulgaire bout de bois. Tout en me relevant, j’allais le regarder s’attardé sur la viande qui l’attendais. Je ne mangeais que des fruits ou alors des bête comme des rongeurs, j’ai un régime très spécial je dois bien l’avouer, mais j’aime manger ca et je ni peut rien. Ca dégoute beaucoup de personne se genre de chose, mais pour moi c’est un régal sans pareil. Chacun a ses petits plat, mais je dois avouer que certain plat ne sont pas très ragoutant, comme les huitres a la sauce de je ne sais plus quoi. Bon, c’est vrai que j’aime tout les animaux de mers mais les huitres…. Rien qua la première vue de cette chose, j’avais envi de vomir, et quand j’ai gouté, je ne vous en parle pas…

Je regardais l’homme affamé commencer à se jeter sur la viande, tout en m’allongeant sur le sol et admirant les étoiles dans le ciel noir, et la demi lune présente. C’était un rare spectacle de voir autant d’étoile, surtout par une nuit noir ou seul quelque instant de brouillard gâchait la vue. Le feuillage des arbres bougeant dans la direction du vent entrainait les drôle de bruit déjà présent dans cette foret qui peut donner la chair de poule a n’importe qu’elle aventurier prés à affronter un endroit dans le genre. Moi, j’étais obstiné a toujours vaincre la peur et a affronté les choses en face, de toue manière dans ma plus tender enfance j’ai été préparé a chaque événement, ce qui me fais des avantages pour mon avenir et les moments qui se produiront, on va dire que j’ai beaucoup de chance d’avoir appris jeune. Je senti alors quelque chose frotter sur mon bras blaiser qui c’était arrêter de saigner, il ne restait que du sang sec. De mon autre main, rapidement sans prendre le temps de regarder ce que c’étais, j’empoignais la bête qui c’était faufilé sur mon bras et je la ramenais au dessus de ma tête pour savoir ce que c’était. Un simple serpent aux couleurs flamboyantes qui, de son regard perçant me menaçais. Tout en me redressant, j’ouvrais la gueule et sortais mes crocs. D’un coup sec, j’arrachais la tête du serpent avec mes crocs et la recracha plus loin tout en balançant le reste de son corps dans le feu. J’essuyais le sang rouge et violet du serpent sur mes lèvres, pensive. Quelques minutes après, je me retournais vers l’homme qui semblait peut être un peu dégouter de mon acte.

-Au faite, tu ne ma toujours pas donner ton prénom… Prend ton temps surtout.

Je lui tirais la langue tout en me relevant, passant un coup rapide de main sur mes habits et le faisant lever de l’endroit ou il avait déguster la chair des animaux mort, ou il n’en restait que les ossement. Je l’avais pris par le poignet et je le menais à travers la foret pour reprendre le chemin vers la petite ville villageoise et le port ou tout un tas de bateau étaient encor entrain de marchander à cette heure tardive. Sur le chemin, j’attrapais une chauve sourie assez spécial qui avait tenté de nous mordre. Je lui arrachais les ailes d’un coup sec et la laissait a terre, pour qu’elle crie en paix et qu’elle souffre comme il se le doit. Arriver a la sorti de la foret, je m’arrêtais pour le lâcher enfin en paix sans ses bêtes féroces a l’affut.

-Tu dois être fatigué après une journée pareille… et je dois aussi beaucoup te fatiguer, mais ce n’est que le début.

Je lui fis un sourire perspicace tout en l’emmenant a marché a travers la ville mi-endormie. Il ne restait que quelque lumière d’allumer dans les maisons les plus tardives et les chants des gens saoul dans les bars. En gros, rien de bien méchant dans les alentours a une heure pareille, c’était bien normal. Il y a un temps a tout…

Après avoir mangé un lion et demi au grand complet, Vector essaya de mangé le reste mais il recracha la petite boucher qu'il avait prit, car maintenant il était en pleine forme avec le ventre plein a ra-bort. Tout se qu’il aurait aimé était de pouvoir gouter au serpent, mais il était trop tard maintenant car il ne pouvait plus rien avaler. Non, Vector n’est pas toujours comme ça ! A manger des lions. C’est juste qu’il y avait juste ça à manger, et c’était plutôt bon. Regardant les alentour et les étoile, il se tourna verre la foret quant il attendu un tout petit bruit, il vu le créateur du bruit, c’était un serpent et il montait le long du bras de Staire. Il ne dit rien car avec ce qu’il avait vu de ce qu’elle est capable de faire ce n’était surement pas un serpent qui allais la tué et de plus, il s’en fouterait bien qu’elle se face morde, il pourrait ensuite rire d’elle. Plutôt méchant quand il veut non ? Il n’est pas toujours comme ça mais quand ça arrive c’est assez chiant. Elle prit le serpent et elle fit un acte qui normalement aurait du effrayer qui que se sois, elle arracha la tête du serpent avec ses dent pour le recracher et jeter son corpo au feu. Vector, lui, trouvait ça cool et trouvait que pour faire ça faut avoir du :

"T’as du cran je dois te l’avouer."

Puis elle lui rappela la politesse de se présenter quand quelqu’un nous le demande ou qu’il c’est présenter avant, mais n’aurait jamais du lui dire qu’il pouvait prendre son temps car Vector, quand la situation l’arrange, prend les phrases au pied de la lettre. Alors il se contenta de répondre, au lieu de lui dire son nom et prénom comme la courtoisie le demande :

"Ok, merci, j’étais pas pressé de te le dire. Ça va attendre, heu… je sais pas, peut-être après demain."

Il lui sourit d’un air moqueur, elle ne l’avait surement pas vu car elle ne fit rien a propos de son acte. Puis après quelque second à regarder la moitié de l’autre lion et a se dire que c’était du beau gros gâchis, il allait pour finir le deuxième quant elle le prit par le poignet et l’amena encor en quelque part dont il avait aucune idée. Il se laissa encor faire, pour la simple raison qu’il avait encor une chose à faire avant d’être a sa force maximale, digéré. Ok oui, il avait la force de s’opposer mais il la trouvait marrante avec tout les conneri qu’elle essayait pour le faire chier. Ils arrivèrent en ville la ou quelque soulon détruisait des chansons ou parlait d’aventure très ennuyant. On pouvait les attendre mais il fallait être très attentif, Vector lui, ne l’était pas du tout. Puis Staire lui parla, il n’écoutait pas tellement mais comprit le principe.

"En gros tu me dis : Vas te coucher mais le cauchemar est pas finit. C’est ça ? "

Il lui fit encor son sourire de moqueur puis retourna sur ses pas, et oui dans la foret. Les animaux avaient l’aire d’être balaise. Puisqu’il n’avait pas eux le temps de se faire un petit combat à lui seul, c’était bien le bon moment.

Les réponses de se mystérieux jeune homme ne me fit que plus rire. Il jouait aussi le jeu comme il le fallait, a fin que je ne puisse pas le cerné de si tôt. Il avait du avoir ingurgité assez de viande pour être en bonne forme, vue ce qu’il avait à manger, il ne pouvait pas manquer de faim a présent. Apparemment il semblait avoir compris le principe d’une de mes phrases, dite exprès pour l’embêter une nouvelle fois. Sur ses mots, il se retourna vers la foret et y pénétra. Sans aucun mot je le suivi a pas de loup tout en ressortant une nouvelle fois mes griffes, juste par geste de méfiance. Mon instinct ne me trompe jamais, et je sentais des présences autour de nous, comme une embuscade pour nous avoir plus facilement.

Tout en m’arrêtant et retenant l’homme avec ma main, de drôle de bêtes sortirent effectivement de l’ombre pour former un cercle autour de nous. Je regardais autour de moi tout en position défensive a fin d‘être prête a toutes attaques. Justement, trois de ses étranges bestioles bondirent sur moi, et d’un geste je les esquivais pour me retrouver sur une brande d’un arbre. Une sorte d’énorme oiseau me poussa de ses pattes aux griffes longues et acérés. Je tombais alors du haut de l’arbre, tout en atterrissant sur mes pieds. Je sautais sur l’une des bêtes en l’abatant de coups de griffes dans la gorge, tout en crevant les yeux du suivant qui avait bondit juste derrière moi. Le sang avait tâché mes grand habits cachant le reste de mon corps, et mon visage en fit l’expérience aussi. Ses bêtes étaient faciles à crever, c’était ca qui m’inquiétait. Je ne savais pas ou était passé l’homme qui m’avait porté compagnie, il devait être entrain de lui aussi tuer de ses bêtes féroces, mais je n’avais pas le temps une fois de plus de m’inquiéter de son sort, car le miens était aussi en jeux et on était jamais assez trop prudent.

Tout en poussant les cadavres des bestioles de sur moi, j’essuyais mon visage et pris d’assaut par deux fauve, l’un deux m’attrapa par la taille avec sa gueule sans pour autant me faire mal. Il me prenait pour un de ses petits ou quoi ? Tout en regardant le deuxième fauve en face de moi sans broncher, les bras croiser et sentent la bave de celui qui me tenait entre ses crocs par mon sweet, je pris l’initiative de me débattre et d’atterrir au sol tout en regardant les deux fauves qui me fixait. D’autres fauves arrivèrent peut après et m’encerclait. La chose la plus bizarre et qu’ils ne m’attaquent pas encor. Je prenais une position d’attaque et les défiait du regard. Je sentais l’atmosphère s’alourdir, surement une sorte de pression que la foret commençai à laisser ressentir. Voyant que le petit groupe commençait à s’énerver d’une prise pareille, ils sortirent leur griffe et toute dent dehors allaient me sauter dessus a fin de me tuer. Ils avaient vite compris que j’avais abattu leurs amis, les cocos.

D’un bond je sautais contre le tronc d’un arbre, prenant entre mes dent un cutteur qui était accrocher sur ma cuise. Les plus courageux sautèrent en ma direction sur le tronc d’arbre, et sans mal je les repoussais en leur plantant mes griffes et les balançant a même au sol. Le reste du groupe furent affolé par des bruits aux loin et partirent au pas de course. Je redescendais alors et cherchais le jeune homme pour savoir si tout allait bien. Il était un peu plus loin d’après ce que j’avais pu voir avec mes yeux perçant et semblait avoir déraciné tout les ennemis qui avaient pu l’affronter. Je rattrapais le jeune homme, venant a ses côtés quand un bruit derrière m’alerta. Un drôle de phénomène se produisait et il semblait que les fauves près à venir nous attaquer soient paralyser, et que la chose allait bientôt arriver jusqu’à nous. Qu’es ce que c’était… malheureusement on ne pouvait pas le savoir, mais il n’y avait pas une minute de plus a perdre. Je pris une nouvelle fois l’homme par le bras et courrait en direction de la sorti de la foret. Une fois l’abri, hors de cette foret, une légère secousse se fit entendre, puis la terres se mirent a se séparé en quelques morceaux. Les habitants alertés sortirent pour constater le désastre qui se produisait à peine. Vue les fragments, dans quelques heures il se pourrait que cette ile soient réduit a néant. Tout en me rapprochant du port tout en reprenant mon souffle, je regardais ce qui était derrière nous, beaucoup de secousse se produisaient a travers la foret, et de la foudre commençait a pointer le bout de son nez.

-Je pense que prendre le large est la meilleure solution avant qu’on finit tous écraser ou anéanti. Ou même coulé et mort sous les eaux…

Mon regard se tourna vers la ville affolé par les secousses, et certain prirent déjà les précautions de prendre le large en direction d’une nouvelle île ou trouver une ville et y vivre. Les terres étaient pleine de secret, et celle-ci était justement bien étrange, moi qui m’y trouvais a mon aise jusqu’ici, il faudrait que je décampe a mon tour a cause de cet événement si soudain obligeant toute la foule à naviguer dans une autre direction.

Il senti bien qu’elle le suivait encor et toujours pour tante de le faire chier, mais un peux plus lion, il se tourna pour lui dire de ne pas tenter de se cacher, mais ne vit rien, si se n’est que quelque lion qui allaient au sens opposer de la direction de Vector. Il ne s’en soucia pas car il avait bien vus que ces lion n’était pas très fort, lui, il voulait se battre avec quelque chose de puisant, juste au moment ou d’autre créature ressemblent a des hyènes avec une corne sur le front apparaisse. Ils se mirent à tourner autour de Vector en fessant un crie plus ou moins agréable et encor moins rassurent. Il ne l’apprécia pas du tout et dit le fond de sa pense.

"Mais vos GUEL ! Vous me caser les tympans avec vos cris à la con bande de taré !!"

Ayant comprit que Vector insultait leur crie, un des, environ, dix hyène a corne chargea sur Vector. Mais le plus rapide reste le même et restera le même. En utilisant le Soru, Vector se poussa du chemin de la corne du hyène pour ensuite revenir a la charge en donnant un coup de poing assez puisant pour cassez la corne et en redonnant un autre dans les cotes. L’animale partit a toute vitesse vers les fond de la foret mais s’arrêta assez rapidement car un arbre se trouva sur son chemin. L’impact avec l’arbre eux raison de lui, sa colonne vertébrale était maintenant casser en deux et ses cote avait brisé pour transpercé ses organe vitaux. En voyant se que Vector venait de faire, deux d’entre eux partir a la cours pour épargner leur vie. Il n’en restait plus que :

"Une, trois, quatre, six, huit. Bah ! Y’en avait onze. Plus que huit pour s’amuser. Graviti Help !"

Le Graviti Help est une des techniques qu’il avait inventé dans son enfance, et elle lui a été de grand secoure dans nombreux de ces combat. Il fit un sourire qui n’était pas rassurent du tout, puis s’envola grâce au Geppou. Les hyènes a corne n’abandonnait pas pour autan, il attendait qu’il redescendre et c’est se qu’il fit rendu a cinquante mètre de sol. Vector Laissa la gravité faire le boulot, il descendait a une vitesse assez rapide et il se prépara pour donner un coup fatale a celui qui serrait sur sa route.

"Pression Punch !"

Une autre technique qu’il avait inventée, la puissance de cette attaque dépend beaucoup et même entièrement de Graviti Help. Il écrasa complètement le malheureux qui était dans le chemin du Pression Punch. Le hyène était renfoncée dix pied sous terre avec trois ou même six cote de réduit en miette. Se redressant, Vector décida d’en finir le plus rapidement, en utilisent encor une fois Soru Il donna des coup fatal a chacun de ces animaux les tuant ou le mettant dans les pomme pour les chanceux. Ayant fini la travaille il alla pour cherche Staire qu’il avait perdu de vu. Après quelque instant un tremblement de terre minime et un hurlement de bête se fit entendre. Ces elle qui le trouva, il alla pour parler mais elle lui empoigna le bras de nouveau pour l’amener hors de foret puis pour le trainer jusqu’au port.

"Si tu pense que je vais partir pour manquer un combat de cette ampleur tu te trompe. "

Il fit un geste brusque pour se détacher de son emprise et courut vers d’où venait le hurlement.

*Enfin un combat de taille !*

Non mais qu’elle imbécile… croyait-il trouver un ennemi au loin ? Je ne pensais pas que cela provienne de quelqu’un, bien que tout était possible… L’ampleur prenait de l’avance et les habitants étaient quasi tous parti, prendre la fuite au large et trouver l’endroit tranquille. L’île ne devait plus du tout avoir la forme initial qu’elle avait, dans de tel conditions elle ne devait ressembler qu’a un gros boulet avec de diverses coupure et des éboulements… même si il semblait fort, ne vaut mieux pas foncer tête baisser comme il allait le faire. Je le suivais de loin en sautant sur les bâtisses à moitié détruites et les restes du commerce étalé sur le sol. Tout me laissait à croire qu’on allait nous aussi finir en tas de ruine, et par la suite oublier, noyer dans le néant. J’évitais les éboulements provoquer par les secousses avec difficultés, provenant de n’ importe où, et même s’écroulant a mes pieds. Malheureusement, cet homme allait surement nous causer des problèmes à être têtue comme une mule pour découvrir ce qui se cache derrière ca. Je n’avais aucune envi de me battre, surtout pour y laisser ma vie.

Voyant que le sol commençait lui aussi à s’éclipser sous le poids, j’attrapais l’homme au passage par le col pour le soulever et le pauser dans le plus grand arbre de la foret, là ou on était un peu prêt en sécurité. D’un côté, heureusement que j’étais là, car en un fragment de seconde il n’aurait pas pu atterrir sur cette arbre de passage. Heureusement aussi que j’ai l’art des sauts et de la hauteur, je serais déjà morte à l’heure qui se présente sinon. Tout en relevant la tête, à gauche ou même à droite, il n’y avait rien. Aucune sorte de monstre ou même un mythique dinosaure qui serait miraculeusement apparu pour détruire l’île. Il n’y avait absolument rien… sur terre. Celui qui a causé ca serait donc un monstre marin ? Je n’avais jamais vue un monstre marin, a vrai dire je n’allais pas non plus les chasser ou les embêter, je n’avais aucunes envie de provoquer des monstre qui font trois milliard de fois ma taille. Qui aurait assez de folie pour faire ca de toute façon ? Enfin, d’accord je suis peut être une fille assez folle, mais pas dans le sens de l’attirement des gros animaux marins. Je n’étais pas très rassuré de cette résolution, pourtant ce que je pensais étais surement la vérité.

Quelques temps après, ma vue me démontra que je n’avais pas u faux sur ce que je m’étais fixer. Un animal de mer aussi gros qu’une baleine surmonta le bord le plus proche de l’île pour commencer a aspiré les maisons, et les derniers habitants qui n’avaient pas décampé tentaient de tuer la bête avec leurs armes. La tête de la bête comportait un troue parallèle a celle de la baleine, d’où l’eau sortait aussi de la même manière. Ce devait être un animal de la même famille mais bien différent. Sa couleur était d’un vers pastel et ses yeux marrons presque noir, de plus que des énormes dents digne de la taille des plus gros bâtiments que l’on pouvait voir. Je senti l’excitation de mon compagnon en voyant la grosse bête pointer le bout de son museau. Il comptait l’affronter de front ? On ne savait pas de quoi était capable un tel monstre et j’espérais pour lui qu’il sache se retenir, pour ne pas agir trop vite…

Les derniers hommes furent engloutit, et l’énorme sorte de baleine prenait du terrain sur les côtes de l’île. Je sautais de l’arbre pour atterrir dans l’eau, pendant que la baleine était occupé a parcourir du terrain. Je me mi à nager le mieux que je pu malgré que je n’aimais pas autant que ca l’eau et que la tempête allait se déchainer. Je me rapprochais de ce monstre, montant contre sa nageoire du côté gauche et m’agrippant à sa nageoire dorsal pour grimper sur son dos. Avec difficulté et après plusieurs geste pour réussir a grimper, je me mi a planter férocement sa nageoire dorsal pour la lui abimé un maximum et l’occuper, laissant terrain libre a l’homme. Le monstre se mi à se secouer de toute part, et je du planter mes griffes dans sa dur peau pour m’accrocher. J’avais beau le déchiqueté de toute mes forces, ca ne semblait pas l’infecté plus que ca. Il avait surement un point faible, mais lequel ? Je n’avais pas le temps d’examiner son long corps pour en déduire que certaine partis l’infecterait plus que d’autre. Il plongea alors dans l’eau pour espéré me faire lâcher prise, mais je m’accrochais si fort que, quand je glissais je replantais directement mes griffes pour crée de profond troues dans sa peau. C’est alors que je pensais au troue qui lui permettais de respirer, il faudrait que j’arrive à me hisser jusqu’à là bas, j’étais sur que ca l’atteindrait.

Pendant que je me hissais avec hâte, a plusieurs reprise il me refit glisser. Je profitais d’un instant crucial ou l’homme allait à l’assaut pour atteindre enfin sa voix respiratoire et y planter mes griffes pour la boucher. Au loin, les bateaux des habitants regardaient le spectacle avec beaucoup d’étonnement, mais surtout de crainte. Seule, je ne serais pas de taille, ou plutôt je mettrais des heures avant de le tuer, appart si il arrive à m’avoir avant ca. Je pensais pouvoir compter sur l’homme qui serait de grande aide pour détruire ce monstre, et come il semble bien obstiné a vouloir attaquer une chose plus grande que lui, sois disant un adversaire de taille, il était servit.

Il était si impressionné, de peut-être se battre contre quelque chose de gros et de puisant, qu’il ne s’occupait même plus de Staire qui alla a l’attaque avant lui. En voyant la petite créature, Vector était dessus, lui qui pensait avoir à faire à quelque chose d’énorme, de gigantesque ! Non, le monstre marin n’était pas plus grosse qu’une baleine et il suffisait d’une de ses attaque bien mit au bonne endroit pour lui éclater la cervelle. Le problème était que la baleine verte bougeait beaucoup trop pour que l’attaque qu’il voulait faire marche. S’il manquait son coup, s’en serrait finit de lui, mais si il réussit le monstre serait mort sur le coup. Vous avez envi de voir l’attaque ? Un peut de patience. S’ayant rendu enfin compte que Staire avait passé a l’acte, il se mit en rage, il voulait un combat un contre un avec se monstre, pas un combat deux contre un même si certain dirait que la baleine vaut plus de dix. Aurait-il un jour un combat de taille s’en que quelqu’un se mêle du combat ?

*Pourquoi ? Pourquoi je peux pas avoir un combat a moi seul pour une fois qu’il a un gros monstre… ouais si on peut dire gros. Après l’échauffement je lui dirais se que je pense a elle !*

Il utilisa le Soru pour s’approcher rapidement de la baleine, tout les bestioles essayaient de fuir pour ne pas finir avaler par cette ridicule baleine verte. Arriver a dix mètre de son adversaire, Vector se mit à faire une tête déprimer puis lâcha un petit soupire. Il utilisa Geppou pour aller tout près de un de ses yeux, il alla pour donner un cou qui l’aurait mit aveugle d’un œil quant il se retourna et alla dans l’eau. Il vit Staire sur son dos qui était bien agripper, Vector ne pouvait plus rien y faire, l’ennemi avait-il fuis ? Non, bien sur, se n’est pas quelque égratignure qui vont faire fuir une baleine carnivore affamer et féroce. Le monstre refit surface avec Staire encor agrippé à son dos.

"Ouf. J’peux encor lui dire se que je pense d’elle."

Il utilisa Geppou pour aller proche de ou était Staire, qui était maintenant tout tremper au lieu d’être tout plein de sang. Il ne s’en préoccupa pas pour le moment, il cherchait le trou d’où l’eau se fait évacuer. Il n’était pas dessue la baleine car il utilisait encor le Geppou, comme ça il ne risque pas de glisser sur sa peau…et bien, glissante. Il alla proche de la tête du fesseur de trouble mais alla trop vite en regardant pas assez bien et, malheureusement manqua le trou et passa par dessue. Il arriva au bout de la tête et s’arrêta pour ne pas aller trop loin.

"Mais ou est-il se trou à la con ! T’es bien une baleine NON !??!"

Il commença à chercher mais était un peut trop loin pour trouver le trou, cette chose avait tellement de cicatrise que tout ressemblait a tout. La baleine donna un coup de tête par en haut pour attaquer Vector, lui qui n’était pas concentré a se défendre mais plutôt a chercher le trou ne l’esquiva qu’au dernier moment grâce a :

"Hm, Soru !"

Il passa à quelque centimètre de ce faire frapper par la tête de l’ennemi et peut-être même de sa mort. La tête du monstre marin retombant, Vector s’approcha doucement du crane puis se déposa, Il perdit l’équilibre a cause de la peau glissante de la baleine mais ne tomba pas. Ayant retrouvé son équilibre, il donna un puisant cou sur la tête se qui lui donna un très gros male de tête. Le coup porté par Vector n’avait pas été assez puisant pour l’assommer ou la tué.

"T’es coriace toi ."

Quel plaie cette étrange baleine… de plus que cette homme était revenu a l’assaut pour la tuer en directe, ce qui fus rater au premier coup. L’étrange phénomène fini par céder sans respiration, je lui avais complètement déchiqueté le troue qui lui permettais de respiré, ce qui la laissa morte et a couler. Je sautais dans l’eau pour retourner sur terre et cracher toute l’eau qu’elle m’avait fais avaler. L’homme semblait contrarié de ne pas pouvoir l’abattre seule, mais au moins on en était enfin débarrasser. De plus, ce jeune homme utilisait de drôle de technique que je n’avais jamais vue, et qui était comme je le désignais bien étrange. Ce pendant, la baleine morte restais sur place et les habitants allaient surement revenir voir cette baleine de prêt et reconstruire leurs maisons, avec solidarité. Ce qu’ils firent, les bateaux autour de nous éloigner crièrent de victoire et revinrent, ne sachant même pas en toutes parties ce qui avait pu se passer, de toute manière ils étaient débarrasser de cette bestiole, alors ils ne cherchaient pas a comprendre ce qui l’avait tué.

Quand les bateaux revinrent enfin, les hommes descendirent en criant victoire. Certaines maisons les plus lointaine n’avaient aucun dommage ce qui soulagea plusieurs personnes, d’autres allaient travailler dur pour retrouver leur vieille maison qu’il avait mit du temps à construire. Je regardais alors l’étrange homme, il était lui ni trempé ni en mauvaise état, normal, quoi. Je défis alors mon sweet et retirais ma chemise, laissant voir mon juste au corps collant qui était en dessous de tout ce tas de vêtement que je portais. De toute façon, ses deux espèces de manteaux étaient complètement trempé, inutile de les garder sur moi, ca ne me donnerais que plus froid. La soirée avait donc été bien mouvementé et riche en nourriture, car les habitant commençait déjà a y aller a plusieurs pour tenter d’ouvrir la baleine et d’obtenir de la bonne viande, de quoi les rassasié pendant des mois ou même plus d’un an. C’était une chance pour eux que d’avoir autant de nourriture, et en même temps une malchance d’avoir été attaqué si soudainement.

Pour ma part, je parti m’assoir prêt de l’homme. Il avait été aussi courageux pour aller frapper ce monstre marin qui avait surgit de nulle part, lui qui était avide de gros combat apparemment, je connaissais un endroit parfait pour qu’il puisse aller se défouler, et je comptais bien lui en parler. Comme j’avais du le contrarier de lui avoir en quelque sorte voler sa proie, il allait être content d’apprendre que ce monstre n’est pas le seul a qui on peut s’attaquer, bien entendu il y a d’autre monstres qui ont besoin d’avoir leur raclé. Il faut rester tout de même méfiant devant des monstres pareils, car on ne sait jamais de quoi ils peuvent être capables, ses bandes de grosse brute attaquant ma moindre île pour le plaisir, ou alors pour se trouver de quoi manger. Je croisais alors les bras, souriante a l’homme qui devait avoir envi de pété les plombs après cette journée fatigante, surtout pour lui que j’ai bien embêté tout le long de sa journée ici.

-Bon écoute moi, je sais que ce n’était pas très amusant une bête pareille et que tu cherche plus gros que cette ridicule petite baleine… et justement je connais une île ou j’ai vécu plus d’un mois dessus qui pourrais être intéressante si tu cherche des combats contre des monstres. Il existe une arène la bas ou les plus courageux sont là pour affronter les plus puissant qui sont enfermé en cage…

Le port se mit a se remplir enfin a ras bord des habitant, chanceux de revenir dans leurs terres natal, et de se remplir la panse avec de la viande qui leur était offert. Un grand feu fut allumer au centre de l’île ou de la viande de la baleine fut apporter et griller, pour que chacun puisse gouter et ce régaler d’une viande bien grasse et fraiche. L’odeur de la grillade se sentait sur toute l’île, animant la joie et la bonne humeur cher leurs semblables.

Vector était quelque peut fatiguer mais cela lui suffisait pleinement pour qu’il ait envie d’un roupillon. Staire lui adressa quelque parole qui lui aurait été très intéressent, les mots qu’il aurait retenu aurait surement été : combat, fort, plus puisant et monstre, mais il c’était endormi pendant un petit moment. Ho, non, il était tombé dans les pommes, normale, il ne métrise pas PARFAITEMENT a cent pour cent le Soru et le Geppou pour que cela ne le fatigue pas s’il l’utilise comme un enrager comme il venait de le faire pendant la journée. Il se réveilla juste a temps, car des marchand, le croyant soufrant, qui était dans le coin allais l’amener a un hôpital pour voir pourquoi il avait tombé comme ça sens avertissement. Il ce releva lentement, comme il l’aurait fait d’habitude, pour aller s’assoir sur un rocher qui avait été brisé l’ors de l’attaque de la baleine monstre verte, maintenant la roche ressemblait étrangement a un banc. Il regarda en direction de Staire pour constater qu’elle saignait toujours, c’était bien normale, elle s’avait fait morde et couper bien assez de fois par les animaux de cette foret. Les blessures était…heu…Aucune idée je ne suis pas médecin.

"Ça va aller Stére ? C’est bien ça ton nom, non ? Bah, j’en ai mare que tu m’appelle toujours tu ou toi ou quoi que se sois d’autre. Je m’appelle Kenil Vector (Comme pour Monkey D. Luffy, mon prénom est le dernier), grand combattant et rechercheur de bonne grosse prime. Mais je suis pas un chasseur de prime je suis un Pirate !"

Il n’aimait pas se faire appeler : hey, toi, tu ou quoi que se sois qui y ressemblait, de près ou de proche. Un villageois passa par les environ et Vector voulait réclamer quelque chose en échange qu’il est sauver leur village du monstre qu’ils étaient tous entrain de bouffer, bien sur il ne garderait pas tout, il en donnerait surement quelque chose a Staire, si il se sent d’humeur généreuse il donnera moitié moitié si non il donnera moins beaucoup moins.

"Hey ! Toi la, oui toi ! Je veux que tu m’amène le chef de ce villagem ça serrait sympa si tu pouvais te grouiller, merci."

Il regarda tout autour de lui, la baleine avait fait de sacrée dégât et elle avait été si facile a tué. Il monta sa tête vers les étoiles puis vit une étoile filante. Il ne les aimait pas car il savait bien qu’une étoile filante, bin, ce n’est pas une étoile mais un météorite fonçant sur la planète ou proche. Puis le maire arriva inquiet car on ne demande pas le maire pour un rien.

"C’est toi le maire ? Avec la banderole c’est un peut évidant. Bah ! C’est nous qui avons tué la baleine verte algue alors je veux quelque chose en échange !"

-Bien sur, cela va de sois, mais que voulez vous précisément ?

"Moi j’veux des tonneaux de bière ! Elle j’sais pas et je m’en fou."

-Oui bien sur, mademoiselle elle prendra ?

*Y a un truc qui cloche ? Pourquoi il accepte ? Je suis sure qu’il ne sait même pas qui a tué la baleine. Ya un arnaque en quelque part.*

Enfaite, je venais d’user de ma salive pour rien. Le jeune homme épuise c’était a moities endormi. Il ne devait pas totalement contrôler ses attaques qu’il avait utilisées contre la baleine que je pourrais surnommer mobydik. C’est alors que sous mes yeux débarquèrent des gens de l’île, voulant embarquer le jeune homme qui était tombé sans aucune raison visible pour les habitants, il se releva avant même qu’ils ne le touche et parti s’assoir sur un rocher à moitié déraciner par cette baleine qui était passé faire des ravages. Je sentis alors qu’il me fixait, et je me rappelais alors de mes blessures… j’étais tellement absorbé dans mes pensées que je n’avais même plus pensé a ce que j’avais subit dans cette foret, parmi le gang de fauves. Sans plus attendre, j’ouvrais la poche de mon sweet et sortais es bandages que j’avais volé dans les différente boutiques médecine là ou je passais. A l’aide mes dents et mon autre mains je pris soins d’appliquer chaque bandages sur mon autre bras, celui qui c’était fait martyriser plus que l’autre qui n’avait que des griffures pas très grave. Quand l’homme aux lunettes de soleils rouges s’approcha de moi pour me parler, mon regard était perdu entre les vagues devant moi, a présent calme, différente de l’heure ou la baleine est venue troubler le rythme de la mer. Il s’appelait donc Kenil Vector ? Bon, c’était un peu bizarre mais Staire Laihos ne passait pas non plus inaperçus… qui n’a pas de noms et prénom étrange de toute façon… Et dire qu’il m’avait encor interpellé, avec le mauvais son… Stére… la prochaine fois il va me sortir Sterne aussi… Je le regardais d’un air désespéré.

Mais avant que je ne puisse lui répondre, il reprit la parole pour s’adresser aux villageois et demander leur chef. Ils semblèrent tous étonné de cette demande mais s’exécutèrent sans se faire prier. De plus, il leur parlait comme à des chiens. Pour lui, tous les gens autour de lui devaient être des moins que rien, vue à ca manière de parler et les phrases qu’il dit, c’est ce que je pense, en tout cas. Il leva alors la tête vers les étoiles, et je suivi son regard pauser sur une sorte d’étoile très brillante. Il me semble qu’elles sont rare et qu’elles sont appeler étoile filante, un nom dans le genre. Je n’avais u à peine quelques minutes pour reposer mon esprit et admiré une des merveilles que ce monde nous offrait, que le maire de la ville débarqua alors tout en s’approchant de ce Kenil Vector. Il lui demanda en toute politesse ce qu’il voulait, et le garnement lui répondit toujours sur un ton néfaste qu’il voulait des tonneaux de bière bien rempli… décidément, les hommes sont tous pareille, il ne pense qu’à ce mettre trois gramme dans la tronche et a faillé à coter de la cible… Comme avait du le remarquer mon compagnon, ce maire cachait quelque chose derrière ses pensées, il voulait surement nous duper et j’allais justement découvrir ses intentions, moi aussi j’avais de l’idée et plus d’un tour dans mon sac.

-Moi j’aimerais bien avoir votre spécialité ici, j’aime goûter les plats spécial de chaque îles…

-Bien, jeunes gens je vais en cuisine, tout vous sera bientôt apporter.

Alors que le maire s’affola pour aller en cuisine, assise aux côtés de Vector je le regardais tout aussi méfiante. Il avait surement deviné lui aussi que ca clochait tout ca, nous n’étions pas dupe et j’allais justement voir ce qui ce cachait derrière leur gentillesse. Alors que des cuisiniers de la ville revinrent avec des tonneaux blindés qu’ils posèrent prêt de Vector, et qu’un d’entre eux m’apporta un grand bol, avec une sorte de soupe exotique, je pris l’un des tonneaux de Kenil et l’ouvris. Je fis signe a un chien de la ville d’approcher ce qu’il fit en me léchouillant, puis je lui fis boire un peu de ma soupe sous l’œil affolé du maire. Le chien ce mit alors a tomber toutes pattes en l’air. Je me relevais en balançant le reste du récipient a la figure du maire tout en sortant mes griffes et prenant Kenil par le bras avant que trois hommes ne l’attrape. Décidément, il fallait bien ce méfié de chaque île ou on pouvait tomber. Tout en courant vers le port, ou tout les villageois nous coursait armé de lance, je retenais Kenil d’aller leur cassez la figure, car je pensais bien qu’il le ferait pour s’attiré des ennuis, mais comme il était aussi épuiser ce que je pris en compte, il n’en viendrait pas à bout, surtout qu’il semblerait qu’on ne sache pas de quoi sont capable ses habitants. En regardant derrière moi, je vis alors de grande dent pousser dans la bouche des hommes à notre poursuite… des cannibales ? Décidément…

-Pas le temps de leur casser la figure, tu ne crois pas que t’à assez jouer comme ca ? Faudrait peux être déjà se barrer d’ici avant de finir dans leur marmite…

Je m’arrêtais aux limites du port, regardant a droite et a gauche. Il n’y avait pas d’autre issu et les gens aux grande dent commençaient a nous rattraper. Qui sait ce qu’ils nous feraient une fois nous avoir chopés ? Mon regard se tourna alors vers Kenil, qui lui avait peut être une idée pour échapper a une course poursuite comme celle-ci.

Décidément, elle aimait lui prendre le bras. Il ne s’en occupa pas pour le moment car il avait déjà assez de la difficulté à marcher seul a cette heur. Ils étaient presque qu’au port. Vector se rappela des paroles et des gestes du maire, il n’était pas très bon pour dupé les autre celui la car avec le ton de sa voix et le signe nerveux qu’il n’arrêtait pas de faire. Il se tourna tout de suite après que Staire l’ait fait, des grandes dents bien pointues sortirent de leur bouche !

"C’est des Loup-garou ou quoi !!?? Ils vont voir se qu’ils vont voir !"

Mais n’eux pas assez la force de luter contre Staire qui lui tenait le bras encor. Il savait bien qu’il se ferrait capturer mais en cage à se reposer, il récupérerait facilement ses forces pour ensuite tout leur casser les dents pour l’avoir non seulement enfermer mais aussi pour avoir tenter de le tromper. Il regarda le port en cherchant son bateau, il y en avait tellement et ils étaient tous énorme. Pendant qu’il regardait le port, un des cannibales lui lança une lance. Elle allait vite et en direction de sa tête ! Heureusement qu’il lui reste toujours un peut d’énergie pour esquiver tout attaque. La lance passa donc a deux goute d’eau de lui empailler la tête.

"Bah ! Mais c’est quoi ça ! Vous avez aucun sens de loyauté ?! Il faut attaquer de front pas de dos bande de taré dégénéré !! Si seulement votre animale de compagnie n’avait pas venu nous embêter je vous briserais tout en deux le crane !"

En disant animale de compagnie, il parlait de la baleine. Il avait dit cela pour une raison évidente, quand il était sur la baleine a cherche le trou respiratoire, il avait vu un collier qui passa autour du cou de la baleine mais il ne s’en avait pas soucié puisque que sur Grand Line rien ne dois être considéré comme étrange car rien ici n’est normal. Il sorti un petit truc avec un bouton dessue, puis pour ensuit le lancer sur le type qui lui avait lancé la lance. La chose que Vector venait de sortir de ses poche le toucha et le mit K.O.

"Ça t’apprendra !! On ne tente pas de me lancer une lance dessue sens que je puise riposter !! "

* Hu… c’était pas l’truc pour démarrer mon bateau ça ? Bah, on va prendre les rames c’est tout, ou encor le système que j’ai jamais eseyer.*

Il se dégagea de l’emprise de Staire pour ensuite lui prendre le bras à son tour. Il avait du mal à marcher droit mais décida d’être le meneur car lui seul s’avait ou était se petit bateau. Il tourna sa tête en direction des villageois cannibale et regarda le maire, puis lui fit une grimasse pour ensuite courir vers son bateau. Ils se mirent tous à leur poursuite mais même sans Soru Vector est un très bon coureur. Après quelque seconde à courir, se faire courir après et se faire lancé quelque lance, Vector s’arrêta en même temps de lâcher l’avant bras de Staire. Devant eux se trouva un tout petit bateau ridicule mais ayant l’aire bien avancé technologiquement. Vector embarqua et attendait avec impatience que Staire monte a bord, a moins qu’elle veuille se laisser dévorer par ces monstres humanoïdes.

Une lance rata de deux doigts la tête de Vector. Un peu plus et il finissait en charcuterie pour ses cannibales, en plus de sa tête trouée. Le jeune homme lança alors un drôle de machin qui tua l’être aux grandes dents sur le coup, ce qui me rassura. Alors que d’autres arrivaient armés, il chercha son bateau et une fois trouver se jeta dedans. Je sorti alors une petite arme surmonté d’un papier et la jeta derrière moi en montant à bord du bateau de Vector. Mon arme ne tarda pas a crée une explosion qui stoppa les cannibales, nous laissant le temps de prendre enfin le large de cette île. Sans chercher à comprendre, je pris les rames et me mi a ramer pour que l’on soit assez loin, histoire d’être en sécurité et qu’ils ne puissent pas nous rattraper.

Apparemment ils étaient trop occupés à regarder les flammes devant eux, ce qui nous laissa le temps de partir comme des voleurs et de ne plus revenir sur ce bout d’île qui nous a assez causer d’ennuis. Alors que je ramais sans cesse, sur cette mer, on n’y voyait pas le bout, rien de plus normal mais comme je n’avais jamais fait ca, sa me surpris et me laissa à dire qu’il y avait du boulot. Sur le moment, j’étais surtout motivé a ramer pour ne pas finir encastré dans les larges ventres de ses cannibales affamés, mais a force j’allais finir par être crever. Pour le moment, tout allait bien…

Alors que nous étions bien assez éloigner, je sentais un air bizarre dans l’air. Une tempête allait surement ce préparé, ce qui ne me rassura pas du tout… sur un petit bateau pareil nous n’allions pas faire long feu si une tempête s’abattait sur la mer. De plus qu’il ne devait pas y avoir d’autre île avant quelques heures de rames, et même plus… je me demandais encor ce que nous allions devenir si nous ne trouvions pas rapidement un endroit fixe pour passer cette tempête sans en mourir. Il faut dire aussi que l’on c’était fourré dans de salles draps, mais au moins on était deux pour affronter ca. Bon, la mythologie et moi ca fait deux, mais il me semble que le dieu Zeux ne sois pas de très bonne humeur pour abattre un ravage comme la tempête qui allait suivre sur la mer… je regardais mon compagnon droit dans les yeux, lui je me demandais bien comment il faisait pour passer son temps à bord de se petit bateau… et pour allez jusqu’aux autres îles. Surtout que ce baladé seul sur une si grande étendue d’eau que la mer n’était pas bien prudent. On pouvait rencontrer beaucoup de chose néfaste pour nous. Autant bien les bateaux pirates que les monstres marins que renferme l’eau salée. Il y a quelque temps, ce n’était pas mon problème mais en se moment, c’était le mien et le sien. Alors nous allions devoir faire face à ca ensemble.

-Au faite Vector… Tu pourrais peux être m’en dire plus sur toi ? Ta débarqué comme ca, et je ne sais pas d’où tu viens… peut être que tu t’en fiche, cela mets égal mais je te demande juste quelques trucs essentiels sur toi histoire de mieux te cerné…

Il fallait bien que j’alimente la discutions, sinon nous allions crever d’ennuis a nous regarder dans le blancs des yeux. C’est alors qu’au loin, j’aperçus une île. Un mirage ? Je ne savais pas, mais pour le moment je ramais en cette direction, c’était surement une chance, qui pourrait tourner au vinaigre… mais c’était mieux que rien pour survivre a la tempêtes sans avoir à naviguer sur les mers quand elle arrivera. Après un moment a ramer, nous atteignons enfin terre et je ramenais le bateau sur le bord du sable tout en regardant autour de moi. Il y avait une vaste foret et il semblait que cette île ne soit habiter que par des bêtes sauvages, mais ils fallait bien se débrouiller avec ce qu’on avait, c’était toujours mieux que rien. Entre deux arbres, je pausais mes quelques affaires et, sans prévenir Vector je parti chercher du bois dans la foret. Elle était sombre, mais plusieurs endroits étaient éclairés de douce lumière, et je ne savais pas d’où cela provenait, car le reste était aussi sombre que l’intérieur d’une grotte. Je ramassais plusieurs branches de bois en revenant sur mes pas encrée dans le sol. Je déposais tout le bois prés des arbres sans voir le jeune garçon, il avait du lui aussi aller chercher quelque chose a l’intérieur de cette foret et il était assez débrouillard pour savoir retrouver son chemin… enfin je pense.

Je prit place a côté du bois et me mi l’allumer, produisant une épaisse fumé, ca permettrais de nous guider si l’un de nous se perdait dans la grande foret qui nous entourait. Je repartis alors dans la foret en quête de nourriture, de quoi nous rassasié après tout ses efforts que nous avions fait, la course poursuite et le voyage sur mer. En plus de ca, je commençais à être littéralement fatigué. Vector devait être aussi bien fatigué, il ferait mieux de rester prés du feu, mais après tout si il se sen capable de quelque choses, c’est toujours mieux que rien. Je montais dans les arbres fruitiers pour en cueillir de divers fruits qui semblaient bon à manger, ils n’avaient aucun symptôme de quelconque maladie ou alors de pourriture. Je rapportais les fruits par petit paquet pour les pausé à côté du feu que j’avais allumé et de quoi faire quelques temps. En quête de viande, je pense que Vector était justement parti chercher de la charcuterie, ce qu’il semblait bien apprécier de son côté.

Je pensais quand même pouvoir l’aider dans cette tâche, et sortant toutes griffes dehors je me mis à me cacher dans les arbres et observer ce qui se passait en bas. Il fallait savoir attendre pour se genre de chose, et savoir traquer correctement la proie. Alors que j’attendais, j’entendis des pas. C’était un drôle de cochon, qui ressemblait fort a un sanglier peut être. Bizarre que l’on trouve ca ici, j’aurais plutôt pensé à des bêtes dont je ne connaissais pas l’origine, mais il se pouvait toujours qu’il y est de drôle de bestioles dans cet endroit hostile. J’attendis alors que l’espèce de cochon soit en marche, sans crainte pour bondir sur lui et planter mes griffes dans se côtes. Le cri du porc résonna à travers la foret, avant de tomber mort au sol. Je le pris alors sur mes épaules, le ramenant jusqu’au campement que j’avis prévu. Je vis alors Vector, quelques temps après revenir a son tour, j’étais entrain de faire cuir la viande que j’avais traqué, et qui maintenant allait finir dans nos estomac.

Maintenant qu’ils avaient échappé aux ‘’cannibale trompeur des forets taré’’, oui c’est le nom que Vector leur avaient donné, ils étaient maintenant sur mers et après un moment de tranquillité bien mérité mais pas assez long, une tempête allait pointer le bout de son nez. Staire ramait depuis le début et lui aussi mais beaucoup moins, il était toujours fatiguer et épuiser après tout ça, pour ensuit changer de direction. Vector se demandait se qu’elle fessait mais était trop paresseux pour regarder n’est-ce que sur le bout du bateau et en plus c’est ce qu’il fait, ramer au hasard comme ça. Puis, le fruit de leur effort a ramé les mena sur une ile déserte.

"Non, non et non ! Pas encor une forêt avec des personne qui vont apparaitre de nulle part puis après on va apprendre que c’est quoi ? Des vampires ? Des zombies ? Non ça, ça se remarquerait trop facilement, les vampires aussi… J’ai quand même un mauvais présentement !"

Staire débarqua du bateau, déposa des affaire qui était surement les sienne. Vector lui ne voulait pas aller plus loin dans cette forêt car, bien… il ne voulait pas point ! Il débarqua du bateau a son tour mais Staire n’était plus la. Il tourna sa tête dans toutes les directions pour voir les horizons et-peut-etre Staire mais il y avait juste Grand Line d’un bort et une forêt immense de l’autre.

"Quelle chance que j’ai ! Je suis crever et je suis sur une ile surement encor habiter par des espèces de taré voulant de la chaire et je suis avec une femme qui essaye de me faire chier a longueur de journée quand elle a le temps. Je suis crever je vais me coucher."

Il alla réembarquer dans le bateau pour faire un bon gros somme bien mérité quant une espèce d’oiseau mauve avec des tache blanche sorti du bateau avec un sac dans la patte, le sac ressemblait beaucoup a ceux dans sa chambre, mais comment l’oiseau aurait t’il ouvert la porte et le coffre et aussi éviter tout les pièges ?

*Bah ! Pas le temps de réfléchir, si c’est pas à moi bin ça le saura ! Puis si c’est a moi on mangera de l’oiseau pour le repa.*

Il se mit à le suivre et entra, sens s’en préoccuper, dans la forêt. Il le perdit de vue à cause du feuillage des arbres, et remarqua qu’il avait perdu aussi son chemin. Il essaya de retourner sur ses pas mais l’oiseau l’avait fait tourner en rond et en zigzag pendant plus de dix minutes. Vector était complètement perdu, encor, dans une forêt dont il ne connait rien, encor ! Puis, en levant la tête pour pouvoir essayer d’analyser les arbres, il vit un oiseau qui avait l’aire de regarder quelque chose qui avait l’aire d’un fruit. Vector chercha dans ses poche quelque chose a lancer mais il avait plus rien. Il donna alors un coup de poing sur l’arbre tellement puissamment que la parti ou il avait frappé avait littéralement arraché, comme si l’arbre avait été coupé horizontalement aux deux place. L’arbre tombât tout droit sur le tronc mais ne bougea pas plus, il ne montrait aucun signe qu’il allait tomber. L’oiseau ne bougea mais pas d’un pouce de ou il était, Vector redonna un coup de poing mais cette fois si l’arbre était dure comme de l’acier. Heureusement que Vector s’entraine en frappant dans de l’acier comme ceci car si non son poing aurait été bon pour la poubelle. Il eu cependant l’effet de surprise d’avoir frappé un arbre aussi dure que de l’acier.

*Mais c’est quoi cette forêt ? Les arbres sont coupés à deux bouts puis ensuite son fait en acier. Je s’avais qu’une ile ne pouvait pas être normal sens avoir de petit pépin qui clochait.*

Il redonna plein de coup sur l’arbre pour faire bouger l’oiseau, l’oiseau lui avait l’aire étonné, un peut normal, qui refrapperait dans de l’acier ? En tout cas quelque juste d’aussi dure. Il s’envola d’un coup sec en se mettant a crié. Alertait-il les autres animaux si oui de quoi ?

* Beaucoup de question et si peux d’envie de les résoudre.*

Puis, il vu un étrange fruit qui ne semblait pas comme les autres de l’arbre, Vector s’avait bien se que cela pouvait dire, Fruit du démon, ou encor un fruit égarer ou amener par l’oiseau, mais la première idée qu’il s’avait fait lui résonna dans l’esprit. Lui qui recherchait le pouvoir, il serrait servi si ce fruit était un des légendaires fruits du démon. Il redonna encor plein de coup pour que le fruit tombe mais au lieu de ça, l’arbre se mit à craquer puis enfin tomba. Tout les fruits n’avait pas bougé de leur branche se qui étonna beaucoup Vector. Il se mit alors à tout détruire les autres arbres qui étaient étrangement normal si on les comparait avec le premier. Ayant fait un assez gros carnage, il serait facile de revenir ici pour prendre du bois et des fruits par exemple. C’est exactement ce que Vector fit, il prit plein de fruit en laissant celui qu’il voulait le plus derrière il voulait le ramener plus tard. C’est alors qu’il vit de la boucane non loin d’où il se trouvait, il fit quelque pas et était déjà rendu a la plage, l’oiseau s’avait bien moqué de lui. Staire était entrain de faire rôtir un sanglier ressemblant a un cochon, ou bien le contraire, mais Vector n’avait pas tellement faim, il voulait juste dormir un peut alors il alla se chercher quelque chose dans le bateau. Il revint avec des barreaux de métal et une couverture, Après l’installation de tout se matériel on pouvait voir un hamac. Vector s’installa et ne dit que quelque mot avant de tomber endormi.

"Bah ! J’ai sommeille alors s’il te plait me réveille pas appart de quelque chose de grave ou un combat, mer…"

Il était endormi avant de finir son mot qui était ‘’merci’’. Il dira un peut de lui a Staire en se reveillant, s'il s'en souvien toujours.

Je commençais à déguster ma nourriture tout en observant Vector endormi a côté du feu. Il avait l’air un peu flemmard, rien de bien méchant. Tout en mangeant, de drôles de bruits résonnait sur l’île ou nous étions à présent, et la tempête fessait déjà rage au loin, dans peu être une heure et quart elle serait là. Je me levais alors laissant plus que les os de l’animal mort, prenant soins de sortir mes griffes et de couvrir Vector de mon sweet, car même en pleine mer, là on devait avouer qu’il ne faisait pas bien chaud. Je m’aventurais alors dans la foret, l’étrange foret ou j’espérais ne pas y rencontré une bande de cannibales affamés qui allait nous courir après. Tout semblait être calme, seules quelques traces laisser par les animaux passer dans le coin ornait le sol, ainsi que de la végétation de fleur d’un bleu cyan. J’étais aussi fatigué, mais j’avais aussi une curiosité caché qui me poussait à aller visiter plus profondément la foret. Alors que je marchais tranquillement a travers cette grande touffe de vegetation, je remarquais que la lumière autour de moi s’amplifiait, comme s’y j’entrais en des lieux sacrées.

Tout en regardant autour de moi, d’un air émerveiller comme toute autres personnes l’aurait fait, j’aperçus de l’eau et un grand arbre, le plus grand de tous. Il avait une couleur nature pas comme les autres, et son écorce n’était pas abîmer. Il était plus majestueux, plus fleurie. Je pris mon aise en m’installant au bord de l’eau. Une tel merveille, je n’aurais pas cru voir ca un jour, mais cela reposais mon esprit. C’est alors que je me relevais après un instant de repos pour m’approcher du grand arbre. Il était vraiment beau, ses feuilles d’un vert éclatant, sa carrure grande et imposante, c’était un spécimen d’arbre vraiment admirable. L’eau a mes côtés était aussi très bien conservé, elle n’était pas polluer, mais brillait de milles éclats, ce qui donnait fort envi d’y faire une petite trempette. Ce pendant, je n’avais pas envi de tenter de m’y baigner, simple méfiance dirait-on, même si cette eau a l’air parfaite, je restais toujours sur mes gardes, même avec de l’eau. Une envie me prit alors de toucher l’arbre, et du bout de mon index, je l’avançai pour caresser la douce écorce.

C’est alors que, comme par magie en touchant l’écorce de cet arbre, des souvenirs important me revinrent. C’était quand j’ai commencé a tout abandonné, quand je n’ai plus revu Urahara. J’étais seule dans cette foret et j’avais construit une baraque, de quoi m’abriter, et je passais mes journées a vouloir oublier. Pourquoi vouloir oublier ? Es ce que la charge était donc si lourde que ca ? J’étais donc aussi folle ? Je ne comprenais pas, mais j’enlevais ma main d’un geste brusque, a cause de la tension. J’allais finir par exploser. L’arbre avait un drôle de don, enfin, je ne savais pas si c’était moi, mais il me semblait bien qu’il soit bénit de quelque part pour pouvoir rappeler de précieux souvenir comme celui là. Je rebroussais alors chemin contente de moi, mais je me rappelais alors l’étrange tempête qui allait débarquer, alors je pressais mes pas en m’inquiétant pour Vector. La tempête ne faisait que commencer à débarquer. Tout en arrivant au prés de l’homme, il était toujours blottit et endormi. Alors, je me couchais a ses côtés, espérant que le lendemain nous nous rentrouvrions en vie.

Le lendemain, la tempête avait fais quelques ravages sur la foret de l’île, mais rien de trop grave. Je m’étirais tel un félin, me relevant en baillant d’un air fatigué et regardant autour de moi. Au moins, on était toujours en vie. Je m’approchais alors des fruits que j’avais cueilli hier en cette occasion et en ingurgita quelques uns histoire de callé toute faim plus tard. Nous devions plutôt repartir que rester ici, alors j’attendais que Vector soient prêt. Tout en chargeant le petit bateau de fruits et de mes affaires, j’éteignais le feu tout en pensant à la veille et les souvenirs qui m’étaient alors revenu. Quel étrange arbre… au moins, il m’avait servi. Je fis une dernière vadrouille dans la foret que je connaissais un peu mieux, prenant le temps d’observer l’eau d’hier et de la frôler du doigt. Elle était pur, aucuns problèmes là-dessus. Je me dévêtis alors pour faire une petite excursion dedans et en ressortir toutes fraiche pour la suite du voyage en compagnie de cet étrange homme. Je pris le temps de faire ma petite baignade, ressortant et enfilant mes habits collant contre ma peau encor trempé par l’eau pur ou je m’étais baigner.

Rattachant mes cheveux, je repris alors direction de la plage ou le bateau et Vector y étais. Quand il fus fin prêt, je montais dans le bateau avec lui pour commencer à ramer de longues et de plus longues heures… toujours le même blabla. Ce pendant, le temps était calme et la mer nous faisait bien avancer. Je me demandais toujours ou nous allions, ou pourrions nous nous retrouver sur une mer si vaste ? Surtout que l’on n’avait ni carte ni boussole… Nous ferrions mieux quand même de nous tasser, on ne sait pas ce que l’on peut rencontrer ici, alors mieux vos éviter tout ennuis avec un équipage de marine ou des pirates… enfin surtout des pirates… Tout en regardant Vector dans le blanc des yeux, je repris ma question d’hier, pas prête à lâcher le morceau.

-Alors, toujours pas décider à m’en dire plus sur toi, Vector ?

Je lui souris alors un peu de travers, continuant ma rame sur la grande mer qui nous entourait. Le soleil commençait a tapé, et aussi a me tapé sur les nerfs par la même occasion, je n’étais pas du tout fan du soleil, j’avais horreur de ca. Et dire que nous avions encor un bout de chemin en vue… il faudrait enfin trouver un endroit tranquille, car à force de ramer sans cesse on finirait par ne plus en voir le bout… on serait trop crever pour continuer, avec des douleurs dans les épaules et le long des bras. Mais ce n’était qu’une question de temps et de durée, combien de temps j’allais tenir la cadence, et combien de temps lui pourrait aussi… il faudrait que nous nous reposions chacun notre tour pour pouvoir être prêt a reprendre le relais.

Vector se réveilla avec une drôle de sensation que quelqu’un était venu dormir avec lui tout la nuit. Il oublia cela car rien de grave n’avait été fait à son corps donc ça ne devait pas être quelque chose de bien méchant. Il regarda les alentour en se demandant ou avait bien pu coucher Staire pendant cette nuit puis remarqua qu’elle n’était pas présente sur la plage. Il alla sur son bateau oubliant le fruit d’hier puis ouvrit un livre sur la nourriture en foret connu. Il remarqua, après plusieurs page tourné le fruit qu’il avait vut.

"Ce fruit, aux odeurs bien intéressent et donnant le gout de morde dedans est acquis d’un poison mortel….. Oulla j’y est passé de près moi, je pari que c’était l’intention de cette oiseau de malheur !"

Il referma le livre et le lança, comme un disque, sur le pont du bateau, le livre glissa s’arrêta au petit mur. Vector sauta du bateau pour aller dans l’eau salé et un peut froide de la plage qui entourait l’ile. Il enleva que son Chandail et le mit sur le sable. Quelque poison allait voir l’intrus et d’autre était venu pour le manger. Il y avait un cinquantaine de petit poison carnivore mais ne ressemblait pas a des piranha.

"Bah ! C’est quoi c’est manière ? C’est comme ça que vous accueillez les visiteurs ? M’as vous apprendre la politesse moi !"

Puis il remarqua au loin sur la plage quelque os presque complètement enfoui dans le sable. Il comprit qu’il n’était pas les seul avoir fait une petite visite sur cette ile. Il se mit a donnez des coups de poing dans l’eau et des coups de pied. Il se fit morde plusieurs fois se qui rendis le bout de la plage rouge sang mais cela n’empêcha pas de donner des coups pour tuer tout les poisons carnivore.
Après cinq-cents millilitre de sang perdu, plus un poison était encor dans l’eau, malheureusement ils étaient trop abimer pour pouvoir les prendre puis les manger. Vector alla vers son chandail et y déchira les manches pour en faire des bandages, il enroula alors ses deux pieds avec et alla vers le bateau. Il s’y accota le dos pour regarder la forêt puis entendis des pas qui semblait être loin. Il déduit que c’était Staire car il était, à ce qu’ils pensaient, les seuls sur l’ile. Ors, il alla près du hamac et le démonta, puis le rangea dans une pièce du bateau. Il attendis quelque minute puis Staire sorti de la foret, elle prit plusieurs fruits et ses affaire puis monta a bord. Ils repartirent en mers sur Grand Line. Puis après quelque temps Staire lui reposa sa question.

"Bah ! J’avais dit que je te le dirais demain et on est se demain qui est aujourd’hui. Y’a rien à dire sur moi, j’ai été un enfant j’ai grandit et me voila ! Plutôt simple non ? Ah oui ! Mon père fessait partit du CP9 et il a eux le temps de m’enseigner deus des six technique du CP9 avant qu’il parte en mers…"

Il fit un tête d’enterrement puis se tourna vers la mer, Grand Line, All Blue…

*Je la trouverai ! Je ne t’abandonnerais pas papa ! Je trouverais All Blue, avant ou après que je sois devenu aussi rechercher que toi. La marine va me craindre plus qu’elle te craignait et ils font voir se qu’est la colère d’un fils qui se fait prendre son père !*

Il était complètement dans sa bulle l’aire triste et pleine de colère. Quelque larme tombèrent mais il ne s’en occupa point, il ramait tout comme le vessait Staire en regardant de temps a autre le devant du bateau pour ne rien heurter.

J’avais remarqué l’air triste de Vector. Il était comme renfermé sur lui-même à cet instant. Avait-il vécu quelque chose de troublant, ou plus encor ? Je ne le savais pas encor, et je n’allais pas lui demander subitement comme ca par peur de le blessé… même si j’étais une pourriture, je savais ce qu’il était d’avoir une dur vie. Et il me semblait fort bien que ce jeune homme en est u aussi l’expérience. Alors que nous ramions, un bateau passait a côté de nous. C’était un navire marine, aucun doute… j’alertais Vector pour que nous ramions dans le sens inverse, mais la marine ne tarda pas a nous repéré, et ils descendirent a bord de petit bateau nous chercher… ou plutôt nous encercler en nous menaçant. Alors c’était ca se destin ? Nous allions être, a ce moment enfermé et sous les taches de la marine… et ils tireraient des prix de nos têtes… faut pas rêver, oui. Même si je serais enfermé, jamais je ne subirais un ordre ou de l’autorité de leur part. PERSONNE ne me dominait. Je suis la seule dominante de moi-même, et personne n’obtiendra le contrôle de mes actes ou mes dires. Alors que nous arrêtons de ramez, les marines s’approchèrent de nous avec méfiance, quand au chef, il était contre les rembarques a regarder ce qui ce passait… il avait l’air d’un gros gamin comme ca. Sans me débattre, je les laissais me passer leurs espèces de menottes spéciales. Ils finirent aussi par menotté Vector qui fut amener sur le même petit bateau pour nous faire monté jusqu’au pont. Je regardais Vector d’un sourire, histoire de lui dire que de mon côté j’allais m’amuser jusqu'à ce que l’on trouve un moyen de s’en sortir.

Quand nous fûmes ramenés sur le navire, celui-ci comportait une quarantaine de marine, dont le capitaine les bras derrières le dos, au milieu de tous les hommes qui nous trainèrent aux pieds du capitaine. L’homme fi plusieurs tour de cercle autour de nous, toujours les bras replier dans son dos, droit comme un I et bien rasé. Il s’arrêta alors en face de nous deux, nous fixant chacun notre tour de ses yeux noir comme les ténèbres. Il croyait nous faire peur, ou quoi ? Je me mis alors à m’éclater de rire tout en gardant mes yeux planté dans les siens. On ne tarda pas à me donner un coup dans le dos pour m’arrêter. J’arrêtais alors de rire, fixant sur ma droite celui qui m’avait frappé de mon regard qui, progressivement se transforma en celui d’un menaçant fauve qui allait finir par tuer sa proie. L’homme devint blanc mais tenta quand même de rester fier aux ôtés de ses camarades qui me regardait bizarrement. Alors que je continuais de fixer l’homme dans les yeux, celui-ci essaya d’éviter mon regard, mais il ne pouvait pas face à un tel affront. En même temps, je prévenais tout les autres que je n’étais pas du genre a me taire parce que l’on me frappait. Je détournais enfin mon regard de cet homme quand le capitaine me choppa par le menton.

-Alors, commença-t-il, un homme de mon équipage aurait donc peur de cette femme ? Regarde là, dit-il en me tournant vers l’homme en questions, la crois-tu féroce ? C’est une femme, elle ne serait pas plus forte que vous.

Alors que l’homme allait bouger les lèvres pour répondre à son supérieur, je crachais sur la joue du chef tout en désignant a nouveau mon regard arrogant

-Je vais vous montré moi, ce qu’une femme à le pouvoir de faire face a une raclure dans votre genre.

Le capitaine sembla tout d’abord surpris de se faire dominer par une femme, ou plutôt face a une sorte de rebelle. Il essuya le cracha et, se releva sans parole. Il demanda alors a ses hommes d’emmener Vector et moi-même dans une cage. Ce qu’ils firent. Le regard du capitaine continuait de fixer le mien, puis il fini par regarder le turbulent Vector, il savait alors a quoi s’attendre avec nous deux. Alors qu’ils nous lancèrent dans la cage, je me collais contre le mur avec un long sourire dessiner sur mon visage. Je n’allais surement pas lâcher le morceau, j’allais bien m’amuser avec ce capitaine a bord de ce bateau marine. Je ne sais pas pourquoi le capitaine sembla très étonné qu’une femme veuille faire sa rebelle. Peut être n’avait-il jamais été confronté a une femme, ou une femme de mon genre et cela venait de lui donner une bonne leçon vis-à-vis des femmes. Quoi qu’il en soit, j’étais contente de moi. Je regardais alors Vector, sans tente de me libérer d’ici.

-Il est bizarre se capitaine, t’trouve pas ? En tout cas, on n’a qu’à rester ici un moment… et on trouvera un moyen pour s’échapper comme des voleurs…

Une demi-heure plus tard, des marines vinrent nous chercher et nous firent sortir de cage, nous ramenant une fois de plus sur le pont du navire. Chacun d’eux étaient à leur poste respective, ne se préoccupant pas de nous, ou du moins il ne nous avait pas encor remarqués. J’ignorais pourquoi ils nous avaient trainé jusqu’ici, mais je compris vite lors ce que l’autre chef ce ramena, s’asseyant en face de nous deux sur un fauteuil installer à l’ombre, près pour le confort de cet homme. Il nous fixa plusieurs minutes d’affiler avant de nous balancer :

-Savez vous, que vous n’allez pas être là en simple pêche ? Certes, mes hommes vous ont pêché a même la mer… mais vous passerez a mes questions avant toutes choses… que fessiez vous sur la mer ? C’est ridicule, vous n’êtes que deux… et le petit bateau a été ramener sur le pont… mais il a l’air de contenir des choses bien sécuriser apparemment…

Alors, nous étions là pour être questionner comme les vulgaires étrangers que nous étions ? Super plan le capitaine… j’aurais du penser à l’applaudir plus tôt… je laissais cette question pour Vector qui répondrait surement mieux que moi.

[HRP: Cour je sais, mais j'approfondirais mon idée dans le prochain RP, je laisse un peu de mystère, :-P ]

(Court ? Ne te fou pas de moi Staire, ton post est comme les autres, deux écran de mon ordi ^.^.)

Vector était prit dans sa bulle quand qu’un vaisseau de la marine alla proche, très proche, trop proche. Pourquoi venait-il accoster sur se bateau ? Ils étaient que deux, sens drapeau pirate ou qu’ils aient fait quoi que se sois de mal. Alors pourquoi ? Vector, quant a lui, était prit dans une autre bulle, celle de la colère ultime et de la vengeance brutale ! Le passer de Vector peux tout répondre sur le fait qu’il déteste au plus au point la marine et tout se qui s’y rapporte. Dans sa tête il voulait leur casser la figure mais il endommagerait son bateau beaucoup trop car s’il se laisse s’emporter, tout son bateau serra réduit en miette et les marine aussi, surement Staire aussi si elle aurait eux l’intention de l’arrêter de tout casser.

*LA MARINE !!! JE VAIT LEUR CASSER TOUT LES OS !! BANDE DE LACHE POURQUOI VOUS ÊTES UNE DIXAINE ??!! ON EST QUE DEUX !!!*

Il était en train de bouiller de colère mais ne laissa rien paraitre, il était calme, mais un peut trop. Quant on l'amena sur le bateau de la marine il eux un sourire bien inquiétant pour tout ceux qui le vit, mais bien sur il n’était pas content que plutôt ils l’aient menotté. Il vit le capitaine approcher, il n’avait pas l’aire bien bien fort, mémé semblait-il plutôt faible. Vector regarda le capitaine entrain de faire les regardez en profondeur puis entendit Staire éclater de rire, lui, ne fit rien du tout. Il était refouler en dedans mais quand cela sortira, aucun marine sortira du bateau vivant ou conscient. Puis un des Marine la frappa dans le dos, cela ne fessait qu’augmenté sa haine, attaquer une FEMME l’IGOTÉ de DOS était surement la pire chose à faire dans la tête de Vector. Puis vit que Staire voulait le décapité, il ne put s’empêcher de faire un petit sourire à peine visible. Puis le capitaine prit le menton de Staire pour dire quelque mot à son équipage qu’il n’aurait jamais du dire. Connaissant Staire, Vector s’avait bien qu’elle n’était pas une femme à se laisser traiter de cette manière et eux raison quant il vu Staire lui cracher au visage. On les amena alors dans le bateau dans une sale ou il y avait des cages puis les mit dedans. Vector toujours aussi calme que l’eau d’un lac n’avait pas l’aire de vouloir faire quoi que se sois. Il se tourna faire Staire puis fit un sourire que seul la vengeance et la haine pouvait être vus a l’intérieur. Il s’assit dans un coin de la cage et attendit, Staire lui adressa alors la parole.

"Bof pas plus qu’il faut, y’a pire que ça."

Puis après une trentaine de minute à attendre, juste au moment ou Vector allait se décider à sortir de la, quelque marine les sorti et les amena sur le pont a nouveau, pourquoi ? C’est se qu’ils ont su quelque temps après. Le capitaine leur dit qu’il n’était pas capturé que pour être capturer puis ensuite il leur posa une question et qui concernait en aucun cas la marine. Pourquoi voulait-il savoir pourquoi ils étaient sur la mer ? Bref, Vector se contenta de répondre en voyant que Staire lui laissa la parole.

"Pourquoi on navigue sur la mer ? Pourquoi tu veux savoir ça le taré ? Ça ne regarde en aucun cas la marine pourquoi deux personnes naviguent sur Grand Line, et de plus, pourquoi nous avoir capturés ? On n’est pas pirate ni bandit, en tout cas vous ne pouvez rien prouver. De plus mon bateau est bien garder car on ne sait jamais quand un crétin voudrait aller dans ma chambre, un peut comme votre situation."

Il se mit à le regarder dans les yeux, le capitaine avait l’aire vexer et peut-être même humilier de s’avoir fait insulter deux fois de suite dans la même journée.

Le capitaine aux bras croiser, fixant Vector a travers ses lunettes sembla un peu vexer de sa réponse, mais il était aussi intriguer par les deux rescaper à la mer. Alors que j’étais entrain de regarder un marine qui nettoyait le pont, quand il passa prêt de moi je donnai un coup d’épaule dans le seau d’eau qui se renversa a même se plancher. Une fois de plus, je me bidonnai, me redressant ensuite a coté de Vector mon compagnon, sous les yeux des hommes de la marine surpris. Le capitaine me donna un coup contre la joue, pour me calmé. Mais ce qui ne fit que m’attarder plus sur mes prochaines options… le chef sembla alors dans une position pour réfléchir sur nos misérables sorts, ou bien sur la prochaine question. Mais je ne voyais pas ce qu’il y avait de plus à expliquer… nous naviguions simplement en mer tout les deux... Ce n’est pas pour autant que l’on est là pour faire du grabuge… enfin en même temps, on n’arrange pas notre cas, on ne fait que de répondre comme des bêtes féroces a se groupe de gars d’la marine… Ce pendant, le capitaine reprit la parole.

- Je vois… nous sommes a deux jours et quelques heures d’une île proche, et de plus vous ne me semblez pas trop de confiance, alors je vais vous ramener a la marine… Ce pendant, il ne faut pas croire que sur mon navire, vous allez tranquillement attendre que les choses ce passe. Vous allez aussi aider mes hommes, et sachez que je serais sans pitié.

L’homme se releva alors, sifflant pour faire amenez des marines qui étaient dans les sous sol et nous trainer là bas. Ils détachèrent nos menottes mais, il fallait se méfier, si ils faisaient ca, c’est qu’il y avait aussi un autre système de sécurité… alors que nous avions comme tâche de faire la vaisselle, je ne bougeais pas, il fallut qu’on me motive a la faire et je commença tout en étant avachi sur le rebord de levier. Nous passâmes une bonne heure sur cette tache avant d’enfiler avec la lingerie… et comme fait exprès, je m’étais gouré dans les points les plus important pour le lavage, alors qu’un de ses pauvres gars avait prit bien le temps d’expliquer. – Ne croyez pas que je l’ai fais exprès surtout, hein ? – J’avais fait déteindre du noir et du jaune, oui je suis douée, même très douée. L’homme sembla, justement lessivé de ma connerie une fois de plus, mais il n’osa pas me réprimander, et valait mieux si il tenait a toute sa tête. Alors que le soir même nous fûmes ramener dans la cage, je ne tardai pas a m’endormir recroqueviller dans mon coin contre le mur. Ouais, nous étions ici pour faire les tâches ménagères… super les tâches… quoi que je préfère faire ca que cirer les pompes de leur chef. Ca, jamais de la vie, ils peuvent tous ce mettre le doigt dans l’œil.

Le dernier jour fus plus rude, nous devions aidez a préparez les repas pour les marines et bien entendu le chef, ainsi ne pas se tromper dans les mélanges. Alors que je fouillais dans les diverses armoire de rangement de chaque sauce ou encas pour le plat, je tombais sur une drôle de poudre blanche. Cette poudre était une poudre de somnifère de quoi faire dormir un bœuf une bonne douzaine d’heure. Sous cette découverte, je partis alors jusqu'à l’homme aux lunettes de soleil rouge et lui montrait ma découverte en pouffant de rire. Ce pendant les cuisiniers m’arrêtèrent et me dire de terminer nos plats. Je le fis sans plus attendre, rajoutant ma petite touche personnelle, la poudre pour pouvoir faire un bon petit dodo. Ils allaient bien dormir les cocos, avec un truc pareille dégoter sur ce navire, cela me servira aussi certainement plus tard, alors j’vais décider de le garder sur moi, juste au cas où…

Quand l’heure du diner sonna, tous les marines affamés partirent ce placer à table. Chacun prit sa place respective et le chef prit alors sa place, en bout de table histoire de pouvoir surveiller chacun d’entre eux. Nous fûmes aussi obliger de faire le service, et pour une fois je ne fis pas la dure pour le faire, histoire de voir le résultat de cette étrange poudre que j’avais trouvé dans les nombreuses armoires de bois, pour le rangement de tout l’équipage de cuisine. Je servis les plats avec Vector, jusqu’à ce que toute la table sois mise et que nous rentrions en cuisine. Par la petite fenêtre qui donnait sur la table à manger, je voyais le capitaine reniflé son repas avec un air douteur, mais il finit par manger lui aussi en voyant son équipage de la marine se porter bien et manger comme si rien n’était, ce qui arrangea le coup que je leur avait prévu.

Si je n’étais pas soude, j’avais entendu que nous étions à a peine trois heures de la prochaine grande ville ou ils se rendaient, en nous emmenant. Ce qui nous laissait de quoi faire pour le voyage, et j’avais déjà une idée… nous allions remporter plus de chose qu’en perdre. Alors que j’attendais avec impatience que les hommes s’endorment, plusieurs d’entre eux commencèrent déjà à s’assoupir à table, et le chef allait y passer également. Après quelques minutes, ils étaient tous affaler sur leur chaise à ronfler comme des bébés. Sans prévenir Vector, je sortais de la cuisine un grand sourire aux lèvres tout en me rendant à la salle à manger, je fermais les yeux, et quatre bras en acier sortirent de mon dos. Mes bras attrapèrent chacun un homme et, pouvant s’allonger à l’ infini ils les menèrent sur le pont, pour les tuer et les jeter dans l’eau glacial. Je fis ca jusqu'à ce que tout l’équipage sois vider de leur sang et se retrouvent tous a la mer, à jamais. On me ferait un jour ou l’autre payer mes actes sadique… mais je sauvais ma vie en même temps, et celle de mon bon compagnon.

Après mur réflexions, j’avais décidé de ne pas ôter la vie au capitaine, mais l’enfermer dans son propre cachot et le faire souffrir. Tout en demandant l’aide de Vector, je trainais le capitaine jusqu’en bas et l’attachait avec les chaines sur le mur, prenant soin de tout fermer a clé derrière moi. Il n’allait pas se réveiller avant que nous soyons arrivés, vu qu’il était plus costaud et robuste que tous ses hommes à présent mort. Je retournai alors sur le pont, l’esprit paisible en regardant droit devant moi, prenant le volant du bateau et le dirigeant sur le cap marqué sur les plans a côté de moi. Bon, je dois avouer je n’étais pas très douer et j’avais manqué plusieurs fois de heurté quelque chose, mais on avait quand même survécu, c’était le principal pour le moment, avant d’accoster sur la prochaine grande île qui nous attendait. J’avais passer un long moment sur le pont, mais je fini part donner le relais à mon compagnon qui devait surement, et même bien mieux manier que moi le volant de ce grand navire. Je restais ce pendant a ses côtés, et je fini par m’endormir le long de la rambarde près de mon cher Vector.

Le lendemain, je me révélais doucement, m’étirant convenablement en prenant le temps de me lever, de me réveiller comme je le voulais, contrairement à dormir dans l’espèce de cage de ce navire, on ne pouvait pas vraiment dormir dedans sans se réveiller toutes les trente minutes… tout en allant voir si tout allait bien, je pris le temps d’avaler quelques fruit dans la cuisine du navire, de faire un tour jusqu’à la cage, là ou le capitaine ronflait toujours profondément comme un enfant, et de remonter embrasser Vector sur la joue en signe de bonjour matinal. Alors que je retournais sur le pont, montant en haut vers la voile du navire, je mis ma main devant mon front pour regarder l’horizon. Une heure et demie après, je vis enfin l’île proche de nous, et je le criai à Vector en redescendant. J’avais hâte d’être enfin à terre et de prendre du bon temps ailleurs qu’ici. Nous allions pouvoir nous reposer sur l’île et avoir l’âme tranquille un bon moment. J’étais soulager, et j’avais sauté dans les bras de Vector a cette occasion, un sourire jusqu’aux oreilles sur mon visage.

Vector n’avait pas dormit de la nuit juste a l’idée qu’il y avait une quarantaine de Marine sur ce bateau près à se faire massacrer. On les amena, Vector et Staire, sur le pont, leur comandant les attendait et leur adressa la parole. Quelque mot qui ne voulait pas dire grand-chose. Puis on les ramena à nouveau dans le sous sol pour leur faire faire des taches quotidiennes, la première consistait à faire le nettoyage de leur assiette sale. Vector le fit mais comment dire, très maladroitement, oui c’est ça. Il ‘’échappa’’ plusieurs assiettes sur le sol, il avait l’aire d’être vraiment maladroit mais en vrais il n’en échappe pas le quatre-vingt-dix pour cent. Puis ensuit, se fut le lavage, il vit que Staire s’amusait bien à faire d’éteindre les couleurs noir et jaune mais Vector fit, selon la personne, pire. Il s’occupa de nettoyer leur uniforme, tout blanc, il déchira un bout de son chandail rouge puis le mit à laver avec leur uniforme. Le lavage finit, les uniforme représentant la marine devin rose. Il se mit à faire une tête de surprit avec un ‘Non’ de désolation. Quelque Marine s’approcha et fit eux aussi une face de surprit.

-Nos uniformes !! Qu’est-ce que t’as fait espèce d’idiot ??

"Je sais pas, pourtant j’ai juste mit vos uniforme, et, rien d’autre.…"

Puis il prit une vois terrifiant pour commencer une autre phrase.

"Un conseille ! Ne t’avise plus jamais de me traiter d’idiot si non je t’éclate les os du corps au grand complet ! T’as comprit le taré ?"

-Tu nous dois plus de politesse, je vais t’apprendre moi le respect si tes parents ne l’on pas fait !

Vector ne pus tout simplement pas prendre les mots sorti de la bouche du Marine, avant même qu’il ne puise lever le petit dois pour frapper Vector, il reçu un coup qui l’envoya jusqu’au mur. Pourtant Vector n’avait pas bougé, a ce que leurs yeux voyaient en tout cas. Il se releva et se mit à alerter leur chef mais rien ne se produisit. Puis le on les conduisit a leur superbe chambre moins cent étoile, par la je veux bien sur dire les cages a prisonnier. Le lendemain leur tache était de faire parti des cuistots pour le repas du navire, Vector était ravit, il pourrait mettre sa sauce ‘Ultra Dupa Oméga Supra Piquante’, c’est une des choses que personne ne devrait gouter car cette sauce est capable de désintégré n’importe quel insecte, on ne voudrait surement pas de se truc dans notre estomac. Mais quand il vu Staire s’approcher de lui avec un flacon écrit ‘Somnifère’ sur son étiquette, il referma son flacon a lui et continua à faire le repas. Comme si tout ça n’était pas assez ils devaient aussi leur servir. Avant que les plat sois complètement près Staire mit des goute dans tout les plat, enfin près ils servaient puis après un bon moment tout le monde dormait. Vector était encor dans la cuisine a attendre un petit peux, Staire, elle était sorti tué tout les marines pour ensuite demander a Vector de l’aider a amener le comandant au cachot. Vector fut étonner de voir des espèces de bras métallique sortant de son dos, il n’avait, encor une fois, pas l’aire érailler mais il avait l’aire d’admirer. Il la regarda avec de gros yeux rond tout en admirant les bras de métal, puis se secoua la tête pour ensuite à mener le chef, Staire l’attacha au chaine d’un mur, il pourra enfin se venger de la marine mais cela ne sera pas assez bien sure. Staire avait prit les commendes du bateau mais prit vite la décision de laisser cette chose a quelqu’un qui avait un peut plus d’expérience qu’elle, Vector. La nuit tomber, Staire était entrain de dormir, il arrêta le bateau et alla au sien, il y rentra prit un appareille photos, une feuille et un crayon, puis par après il alla au cachot la ou était le chef. Vector lui donna plein de coup au visage mais rien à faire, le somnifère était bien trop puisant, mais cela n’allait pas l’empêcher du tué. Il se mit sur une petite table puis se mit à écrire :

‘’Salut bande de Taré !
Vous étiez surement inquiet du pourquoi se navire n’avançait pas et que pourquoi tout les Marine qui y était ne son plus la ? Bien je vais être bien gentil et je vais vous le dire, Ce n’est pas moi qui ait fait tout ça mais mon amie, oui une femme, mais je ne vous dirais pas son nom car je ne sais pas si elle me le pardonnera. Par contre moi se que j’ai fait est ce qui est arrivé a se Commandent a la con, mon nom ? Bien sur Kenil Vector, vous voulez me mettre une prime ou pas je m’en fou mais si oui bien voila une belle photo de moi rien que pour vous.
Merci, et a plus !’’

Il prit ensuit l’appareille a photographier puis prit une photo de lui. Il la laissa par terre près du comandant puis prit la lettre et la mit tout juste accoté de la photo. Finalement il se retourna faire le Capitaine du navire puis la frappa a mort dans le ventre et au visage, il y avait du sang plein les mains mais ne s’en occupa point pour le moment. Vector alla reprendre les commandes puis une autre journée commença. Staire se réveilla et lui donna un baiser sur la joue, il ne vit comme si elle n’avait rien fait puis arrêta la bateau, ils étaient arrivé a la fameuse ile. Vector alla proche de son bateau et se demanda comment il pourrait le remettre a l’eau.

Faut dire que ce Véctor est assez étonnant, il ne semble pas se préoccuper des choses sauf de ce qui l'intéresse, bah de toute façon je n'arrive même pas à dénicher un sourire de tendresse sur son visage - j'ai l'impression que d'une certaine manière, on est proche tous les deux, on se ressemble n'est-ce pas ? - Pourtant, je ne suis pas le genre de fille a vouloir le sourire de quelqu'un, rien à glander des autres, très sérieusement, je suis une des pires égoïstes que cette planète a pu connaitre, en plus de ma mauvaise volonté. Mais bon, il faut dire que cela me réussi et m'aide dans certain cas, contrairement aux gens trop sensible et assez naïve pour croire tout ce que l'on leur raconte... faut vraiment être borné du mauvais sens pour être comme ça, heureusement pour moi que cette face de ma personnalité apparait que rarement, sinon je serais trop influençable. Vector lui a l'air d'avoir un caractère fort mais, aussi une ignorance incroyable, ce que j'avais donc bien remarqué cher lui, il s'en bat complètement des autres, il cherche juste à trouver justice, non pas comme les marines, mais de son côté à lui, il a besoin de détester les marines mais, pour une raison qui met encore inconnue pour le moment. Cependant, je ne vais pas dire que la vie privée de Vector me regarde, mais d'une certaine façon, son être et sa vie m'intéresse. Je ne sais ce qui ma pousser a aller à sa rencontre comme cela et a ensuite débarqué avec lui sur les mers déchainés, mais je dois dire qu'au fond, c'est quelqu'un de sympa, même si c'est dur de pouvoir tirer un sincère sourire de sa part. Sa compagnie je l'aime bien, moi. Le navire où nous avions embarqué c'était enfin arrêté dans une ville et nous fûmes donc tranquille. Vector était en train d'écrire, mais ce n'étais pas mes affaires et il savait ce qu'il devait faire. Il était ensuite descendu dans la cellule du capitaine, alors que moi j'admirais la ville assise sur une rambarde. Lors ce qu'il fut remonté, il avait l'air content de lui. Il avait dû aller rendre une petite visite pas très commode au capitaine qui nous a causé des soucis, bien fait pour sa tronche à celui-ci. Je m'approchais alors de lui pour m'interposer, histoire qu'il m'écoute deux minutes avant de voguer à ses autres occupations.

- Vector, moi je vais faire un tour dans la ville, une petite vadrouille... fait ce que tu veux aussi, mais pour ne pas que je m'inquiète, reviens ce soir sur le bateau hein... ou laisse-moi un mot si t'es trop occuper dans la chambre du capitaine.

Un sourire se dessina sur mes lèvres, me retournant pour prendre le cap de la ville et laisser le jeune homme partir à ses occupations et surement comme moi commencer à visité la ville qui prenait notre horizon. Les habitants, comme toutes autres villes, étaient en pleine action. Certain travaillait dans des bureaux ennuyant, d'autres dans des fermes pour s'occuper du bétail et d'autre encore a faire leur marchandise sur le marché. Personne n'à le temps de s'ennuyer, toujours la même vie, le même fonctionnement. Les gens suivent le plan, dans ce cas-là ils n'ont pas à s'inquiéter, mais si le plan est changé en dernière minute, ils sont morts de trouille... J'étais en pleine visite dans les magasins que nous offrait l'île, en train de farfouiller pour dénicher des choses précieuses à mes yeux. Aucunes brillance n'échappe à mes yeux, comment ne pas voir un bijou qui brille de mille feux ? Faut dire aussi que mon instinct de félin est des plus aiguisé et tout ce qui brille m'attire, logique. D'ailleurs, j'étais dans une boutique ou des bagues surmontées de diamant attiraient mon attention. Ces bagues valaient une vraie fortune, en plus de ça. Il n'y avait que des bourges qui déambulaient dans des boutiques pareilles, tous habillé de longues robes ou d'uniforme sans défauts visible.

En fait, je m'en foutais un peu, mais ces gens-là, ils devraient retourner dans leur habitation de richissime, au lieu de passer leur temps a critiqué les gens qui n'ont pas les mêmes moyens qu'eux. Je pris alors la direction du marchand, une chose dans la vitrine avait attiré mon attention, mais pourtant je ne me souvenais plus du nom de l'objet. Je me rappelle que je l'ai déjà vue, mais je n'arrive pas à l'identifier... Il a un rapport avec quelque chose, mais quoi ? Encor une boule de mystères a résolurent... Je pausais alors ma main sur le comptoir, le vendeur replaça ses lunettes sur son nez et me regarda, ce demandant ce que je lui voulais.

- Bonjour monsieur, vous pourriez me renseigner sur un...un... Euh, une chose de votre vitrine s'il vous plaît...

- Certainement mademoiselle, venez.

L'homme me sourie, les traits de son visage un peu creusé à cause du temps. Il devait avoir une cinquantaine d'année, ses yeux étaient bleus presque blanc tellement ils étaient clairs. C'est ce qui m'avait premièrement attiré à le repéré, ses yeux on ne peu pas les rater. Il semblait tout à fait sympathique aussi, enfin pour le moment il n'était pas bien désagréable. Il me guida vers la vitrine et prit ses clés pour ouvrir la vitrine et de regarder la vitrine, attendant que je lui désigne la chose en question. Mon doigt désigna une sorte de pierre indescriptible, tout le monde s'arrêtait pour admirer la beauté de la pierre aux couleurs rouges flamboyante.

- Vous ne savez pas d'où proviens cette merveille ? Pourtant, tout le monde ne fait que parler de ce cristal. C'est une perle rare, on dit que celui qui porte ça ne pourra pas s'en séparer, tout le monde veut la posséder et on a déjà essayé de me la volée mainte et mainte fois. Je ne la vends pas, car je l'ai trouvé lors d'une de mes expéditions dans des îles lointaine, pendant un temps de guerre. Il en existe d'autre, mais il est très rare d'en avoir. On dit aussi que c'est un don du ciel et que le dé teneur d'une de ces cristaux sont des êtres purs d'une certaine manière.

L'homme prit son Crystal, regardant autour de lui pour ne pas que les autres le voit de plus prêt. Il me le présenta alors, la lumière reflétant sur mon visage me fit rappeler que moi aussi, j'avais une sorte de pierre... un Crystal pareille, me rappelant des souvenirs lointain... je me voyais encore courir parmi la nature cher moi. Alors que je fus tiré de mes pensées, je soulevais ma manche pour regarder ma main, là où ma bague avec le signe chinois " le sanguinaire " était graver. Je la retirais et la fit voir au marchand qui faillit en lâcher son Crystal. Sur ma bague, le même aspect que son bijou, avec les gravures chinoises.

- Mademoiselle... ou avez-vous trouvez cela ?

- Pour être franche avec vous... je ne sais pas où je l'ai trouvé... je la porte depuis toujours, je le sais... mais je n'ai pas de souvenir plus approfondit sur la question.

L'homme reposa son précieux en sécurité et observa le miens. Il me rendit par la suite et me tapota amicalement l'épaule d'un sourire, il semblait cacher quelque chose, mais quoi ? Il repartit à ses occupations et me laissa parmi la foule. Ses yeux me rappelaient une personne... je ne savais pas qui, mais j'en étais sûr je l'avais déjà croisé. Je remis ma bague à mon doigt, sortant après un moment de la boutique. Dehors, un grand vent c'était levé, donnant des frissons tout le long de mon corps et pas qu'à moi. Les gens étaient complètement geler et ils ne tardèrent pas à regagner leurs maisons et les marchands ranger leurs stands. Je me frottais les épaules tout en tremblotant, partant pour moi aussi rentré au chaud vers le bateau. Quand je fus enfin arriver, je sentis quelque chose me tirer en arrière et me tenir fermement. Je sortais mes griffes pour les planter dans les genoux de la personne, ce que je fis, avant que la personne me lâche en tombant. Je me retournais et là, à ma plus grande surprise, quelques marines et un plus haut grader me regardèrent. Le plus haut grader avait un sourcil levé, comme ci il ne s'attendait pas à me voir. Encore des marines... décidément, ont avaient pas fini d'en croiser. L'homme s'avança vers moi, puis regarda le bateau derrière moi.

- Qui êtes vous ? Il me semble que ce bateau appartient à l'un de mes coéquipier qui était sensé se présenter ici à cette heure précise... Et c'est une jeune fauve que je trouve a sa place... aurait-il un peu abusé d'une femme pendant son voyage ?

Il rigole se guignol ou quoi ? Comme si un vieux gars d'la marine pourrait me toucher, ça se voit qu'il ne sait pas ce qui se trouve devant lui, celui là...

- Vous rigolez là ? Un capitaine de sa trempe me toucher ? Vous ne me connaissez pas... alors vous ne pouvez pas savoir de quoi, moi aussi je suis capable. Votre coéquipier a deux balles... c'est mon coéquipier qui s'en est occupé et moi j'ai déraciné tout son bateau.

Un sourire se dessina sur les lèvres de l'homme m'opposant, comme ci il était en avantage sur la situation. Je ne voyais pas Vector, je me demandais sérieusement ce qu'il foutait encore a cette heure, mais il n'allait surement pas tarder... Le capitaine m'attira contre lui alors comme un aiment, c'était quoi se bordel ? Une force se dégageant de lui m'attira contre lui et en plus de cela je ne pouvais pas bouger. Mes griffes avaient été les premières entraînées, comme une sorte de métal reposant dans le corps de l'autre homme. Il ria alors d'un rire froid et ses compagnons m'attachèrent. Franchement, faut dire que ce coup-là je l'ai foiré, mais je n'avais pas pu deviner que ce gars attirait tout ce qui était en métal.

Vector écouta Staire et lui hocha la tête en signe qu’il avait comprit. Il se retourna et, se demandant encor comment il remettrait son bateau a l’eau. Il inspecta de tout les coté son navire mais ne trouva rien qui pourrait l’aidé. Vector descendit du navire de la marine puis alla demander de l’aide à quelque personne qui se trouvait sur le port.

"Hey ! Toi ! Tu pourrais pas me dire comment je pourrais remettre mon bateau en mer ? Tu vois…"

-Rien à foutre des mioches ! Aller dégage, fait de l’aire tu me gonfle.

Les autres personnes qui était proche de là commença à rire comme si cela les amusaient, mais bien sur ! Vector vit alors qu’il se trouvait près d’un bateau avec un signe de pirate. Il se mit à sourire et en voyant qu’il ne bougeait pas, le capitaine frappa Vector dans le ventre. Vector ne plia pas puis le sourire devin plus visible.

-Je t’ai dit de faire de l’air petit alors dégage !

Et un autre coup mais toujours sens effet sur Vector, il alla pour en donner un autre mais trop vite pour lui, Vector donna un coup sur son bras pour le faire changer de trajectoire puis en donna un autre vers le haut sur son menton. Le capitaine vola e près de quatre mètres de haut pour enfin retomber, enfin, si Vector n’aurait pas donné un autre coup. Il se heurta à plusieurs membres de son équipage. En se relevant il donna l’ordre de tué Vector a tous ceux qui était là. Plusieurs dégaina leur épée en chargeant sur Vector quand autre sortirent leur fusil pour le visé.

"Vous pensez faire quoi là? "

Vector se tourna vers un potto ou on attache les bateaux puis en arracha un d’un coup sec puis le lança sur ceux qui avait les épées en main mais le lancé était trop fort puis passa par dessus tout l’équipage pour retomber sur le capitaine.

"C’est pas ça que je voulais faire mais on va faire avec."

-Capitaine !!! Tu va payer pour se que t’as fait a notre capitaine !! Aller les gars !!

Vector pivota en direction du sens opposer de ou il allait, l’équipage ne savait trop que faire mais certain d’entre eux foncèrent pour venger leur capitaine. Vector se retourna et leur prit la tête pour ensuite la leur écrasa au sol. Il continua son chemin en demandent si quelqu’un était assez intelligent pour lui dire comment enlever son fichu bateau de se du navire de la marine. Il se fessait tard et il avait trouvé personne, il retourna au bateau de la marine puis ensuit dans le sien pour vérifier si personne n’avait tenté quoi que se sois.

*Ouf, personne a sali mon plancher.*

Il faut dire qu’avec les piège que Vector avait mit sur son bateau pour protéger ses millions de Berrys, les personne se fessant prendre par les piège n’était non seulement morte mais elle était transpercer et couper de par tout, d’accord je ne rajoute plus de détaille a se sujet. En sortant de son bateau il put voir que Staire parlait avec un soldat de la marine. Il se mit accroupi pour qu’il ne se fasse pas repère, un inconnu sur un bateau de la marine se n’est jamais bon signe. Voyant que, pour une certaine raison, Staire se cola au générale, en suite elle se fit ligoté. Il se redressa puis salua les marines de la main.

"SAAALUUUUT ! Vous vouter quoi avec elle ? Vous voulez que je vous casse les dents c’est ça ? Soru !"

Vector arriva derrière Staire et envoya bien loin ceux qui la retenaient puis regarda le comandant de cette troupe dans les yeux.

-Mais que fais-tu sur le bateau de mon camarade ? Et que veux-tu à cette femme ? Elle est tienne ?

"T’es malade ou quoi ? Si tu savais se qu’elle peut faire tu ne la toucherais même pas, sens t’offenser Staire. Bon la ta deux choix. Un, tu la laisse partir et je te démolis la tronche ou deux tu essaye de t’enfuir et je te rattrape pour a la suite de broyer tout les os de corps, ou si tu veux aucun choix tu peux toujours aller voir se que j’ai fait a ton ami dans la prison et ensuite revenir me battre ou partir et avertir tout les marine de mon acte. Alor t’as choisi ?"

Le comandant courut tout de suite faire la prison puis quelque instant d’après ordonna a ses soldat la retraite pour partir au large avec le bateau. Mais avant que le bateau ne se rendre bien loin Vector tira sur une corde qu’il avait entouré le mat de son navire avec. Le bateau de Vector détruisis une bonne partit du pont mais revins enfin sur mers.

"C’était beaucoup trop facile mais je ne vais pas m’en plaindre pour cette fois."

Il alla dans son bateau a nouveau en laissant Staire attacher.